Nos signets—Semaine du 18 avril 2022

Tiré de «Faut-il sauver le patrimoine», à lire sur L'actualité credit: Photo: Marc Bruxelle / Getty Images / L'actualité
Tiré de «Faut-il sauver le patrimoine», à lire sur L'actualité
Photo: Marc Bruxelle / Getty Images / L'actualité
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Nos signets—Semaine du 18 avril 2022

Votre sélection hebdomadaire des textes, productions audiovisuelles et autres contenus qui ont attiré l’attention de l’équipe de Nouveau Projet, cette semaine.

Bonne lecture et bon dimanche!

L’enfer, c’est les autres?

Habiter seul·e sur une ile une semaine, un mois, un an, une vie? Ce qui nous parait «enviable» à court terme nous semble moins «séduisant» sur la durée. Pour le philosophe Emmanuel Kant, le concept d’insociable sociabilité résume bien ce trait paradoxal qui nous pousse à la fois à nous rapprocher et nous éloigner les un·e·s des autres. Une réflexion intéressante sur le caractère à la fois subi et voulu de la vie sociale.


Vendre un rêve, mais à quel prix?

Quand le soccer sert d’appât pour kidnapper de jeunes hommes ambitieux... Le trafic humain s’invite sur les pelouses du Sénégal et d’ailleurs en Afrique, selon ce reportage publié par Vice.


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Patrimoine, que faut-il sauver?

Qu’est-ce qui a valeur patrimoniale et qu’est ce qui mérite d’être préservé au Québec? L’église du village? L’usine qui marque le paysage de la ville depuis 50 ans? La préservation de nos bâtiments patrimoniaux se heurte souvent à un manque de moyen, de volonté politique, et peut-être aussi à un manque d’imagination. Explications de L’actualité.


Que risque-t-on à regarder Fox News?

Deux politologues de l’Université de Berkeley l’affirment, recherche scientifique à l’appui: regarder Fox News, cet «univers parallèle où Poutine n’est pas si méchant, mais Anthony Fauci et les vaccins anti-covid, si», rend bête. Plus que cela, l’expérience pointe les impacts désastreux des biais de confirmation et des monopoles médiatiques sur le débat politique.


Et si on lisait autre chose?

La fiction est certes un moyen privilégié d’explorer le réel, mais on ne pense pas aux films et aux livres d’horreur en premier pour raconter nos sociétés. Peut-être à tort. Quand des auteur·trice·s racisé·e·s se saisissent d’un genre où s’expriment presque exclusivement des hommes blancs, le scénario change significativement.


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