Ce qu’on a lu—septembre 2024
Qui a dit que les bons romans devaient nécessairement être tristes? Dans «Tout me revient maintenant», récit initiatique queer, Jean-Michel Fortier se reconnecte à la naïveté et la lumière des élèves du secondaire.
On se laisse transporter par la pop alternative de Caroline Polachek, une sirène américaine aux influences bigarrées. Elle fait partie des artistes que nous surveillons de près en ce début d’année.
Caroline Polachek
On l’a connue au sein de Chairlift, formidable duo complété par Patrick Wimberly, où elle s’amusait déjà à détourner les codes de la pop avec sa tessiture vocale hors norme. À présent seule en piste, Caroline Polachek continue de captiver avec ses vidéoclips stylés, son sens de la mélodie et son gout pour les arrangements qui détonnent juste un peu. Avec Sunset et son riff de guitare acoustique entêtant, on ferme les yeux et on a presque l’impression d’être sur une plage andalouse. Un extrait fort prometteur pour son album qui sortira le 14 février prochain.
— Catherine Genest, cheffe de pupitre numérique
Activez dès maintenant votre abonnement à Nouveau Projet pour lire le reste de ce texte. Du contenu original et de grande qualité, des privilèges exclusifs, et bien plus encore.
Voir les forfaitsDéjà membre? Ouvrir une session.Qui a dit que les bons romans devaient nécessairement être tristes? Dans «Tout me revient maintenant», récit initiatique queer, Jean-Michel Fortier se reconnecte à la naïveté et la lumière des élèves du secondaire.
Cet automne, Hugues Frenette prête ses traits à Paul, le personnage de Michel Rabagliati, dans une adaptation théâtrale tricotée par Anne-Marie Olivier. Un spectacle à voir au Trident, à Québec.
Sébastien Dulude a édité nombre de livres à succès au sein de La Mèche, et le temps est maintenant venu de penser à lui, de mettre son talent au profit d’un projet personnel. En cette rentrée littéraire, il publie «Amiante» aux éditions La Peuplade, un roman ancré dans le Thetford Mines de son enfance.
L’été sera musical ou ne sera pas. Alors que des festivals d’envergure se préparent partout en province, notre curseur pointe vers le pianiste Robert Glasper, figure de proue du renouveau jazz. Une visite rare.