Ce qu’on a vu—mars 2025
Les courts métrages ont occupé le haut de l’affiche ces jours derniers avec REGARD, au Saguenay, et le FIFA, à Montréal. «Nouveau Projet» était des deux festivals, et voici les films qui s’y sont démarqués.
La chanson folk d’Avec pas d’casque s’invite dans nos écouteurs à quelques jours de l’automne. Ce mois-ci, on jette essentiellement notre dévolu sur des albums country sur les bords, ou country tout court, prouvant, mine de rien, que la musique de guitares se porte plutôt bien.
Cardinal
Avec pas d’casque (Bravo Musique)
J’ai plongé dans ce nouvel album biaisée, gagnée d’avance, pour autant que la plume et la voix de Stéphane Lafleur sont pour moi de vieilles amies. D’une simplicité exemplaire, désarmante, la poésie du chanteur d’Avec pas d’casque fait mouche cette fois encore, particulièrement sur «D’autres messages suivront» et «Rivages»—mes deux favorites, au moment d'écrire ces quelques phrases. Mais nul doute que mes préférences évolueront au fil de l’automne, au fur et à mesure que je m’approprierai ces pépites de chansons.
— Catherine Genest, cheffe de pupitre numérique, Nouveau Projet
Activez dès maintenant votre abonnement à Nouveau Projet pour lire le reste de ce texte. Du contenu original et de grande qualité, des privilèges exclusifs, et bien plus encore.
Voir les forfaitsDéjà membre? Ouvrir une session.Les courts métrages ont occupé le haut de l’affiche ces jours derniers avec REGARD, au Saguenay, et le FIFA, à Montréal. «Nouveau Projet» était des deux festivals, et voici les films qui s’y sont démarqués.
Basia Bulat crée une musique à son image: tendre, mais jamais plate. L’autrice-compositrice-interprète francophile, et Montréalaise d’adoption, est toujours aussi inspirée qu’à ses débuts au tournant du millénaire.
Né à Vancouver d’un père québécois et d’une mère américaine, avant de déménager en Virginie, puis de faire ses études au Vermont, Deni Ellis Béchard est de ces Nord-Américains bilingues qui enrichissent la scène littéraire anglophone. Son plus récent ouvrage vient d’être traduit aux éditions Écosociété.
Dans «Une langue universelle», Matthew Rankin crée des ponts entre les solitudes, la belle province et le rest of Canada, et les gens qui parlent français, anglais et perse. Un long-métrage hors normes (son deuxième en carrière) qui vient confirmer son importance sur la scène cinématographique.