Ce qu’on a lu—mai 2025
La primoromancière Myriam de Gaspé impressionne avec «L’embouchure», un livre traversé par le fleuve Saint-Laurent qui parait ces jours-ci aux éditions Les Herbes rouges.
Alors que Kyiv est encore à feu et à sang, trois théâtres de Montréal proposent des pièces qui donnent la parole à des dramaturges d’origine ukrainienne. Parmi elles, Moi, dans les ruines rouges du siècle, qui est de retour sur les planches du Duceppe plus d’une décennie après sa création.
Moi, dans les ruines rouges du siècle, d’Olivier Kemeid
À voir chez Duceppe jusqu’au 30 mars
La pièce Moi, dans les ruines rouges du siècle raconte la vie de Sasha Samar, un Québécois d’origine ukrainienne. Elle raconte aussi la chute de l’URSS et les évènements qui l’ont précédée, comme la tragédie de Tchernobyl et l’échec de la Glasnost. Lorsque Sasha apprend qu’il a été kidnappé par son père, il ne souhaite qu’une chose: revoir sa mère. La désillusion du jeune homme, qui réalise peu à peu que sa mère l’a abandonné, s’entremêle avec celle de sa patrie qui, elle aussi, délaisse ses idéaux pour entrer dans la modernité.
— Ariane Fournier, stagiaire, Nouveau Projet
Activez dès maintenant votre abonnement à Nouveau Projet pour lire le reste de ce texte. Du contenu original et de grande qualité, des privilèges exclusifs, et bien plus encore.
Voir les forfaitsDéjà membre? Ouvrir une session.La primoromancière Myriam de Gaspé impressionne avec «L’embouchure», un livre traversé par le fleuve Saint-Laurent qui parait ces jours-ci aux éditions Les Herbes rouges.
Laval n’a jamais été aussi cool, comme en fait foi «Ravaru», le premier album très attendu du producteur et compositeur High Klassified.
Alan Lake a habitué le public à des chorégraphies spectaculaires, et sa nouvelle proposition ne déçoit pas.
Dystopie et reconquête de la nature se conjuguent sous la plume de Gabrielle Filteau-Chiba, une autrice écoféministe qui publie aux éditions XYZ. On a lu son plus récent titre, «Hexa», qui est actuellement en lice pour le Prix des libraires.