Ce qu’on a lu—septembre 2023
Présentée il y a six ans à Premier Acte, un théâtre intime de 80 places à Québec, la pièce «Hypo» de Nicola-Frank Vachon a droit à un deuxième tour de piste grâce au bédéiste Paul Bordeleau.
Après Les faux tatouages (2017) et Nadia, Butterfly (2020), le cinéaste Pascal Plante s’immerge dans l’univers scabreux d’un tueur en série. Réaliste et dérangeant, son nouveau film nous force à réévaluer notre rapport aux documentaires de style true crime. Voici Les chambres rouges.
Les chambres rouges, de Pascal Plante
À voir au cinéma
Il suffit parfois d’une seule scène pour qu’un film marque à jamais les esprits. C’est le cas avec ce thriller québécois dont la signature visuelle, mais sonore surtout, se met au service d’une économie narrative subtile et bien ficelée. Malgré le jeu parfois inégal des acteur·trice·s, ou peut-être est-ce le résultat d’un texte mielleux par endroit, le long-métrage laisse une forte impression. Une scène reste particulièrement gravée dans la mémoire, tellement elle conjugue avec finesse la trame sonore, l’image, les exigences d’un film où le suspense doit rester au premier plan. À ne pas manquer.
— Héloïse Henri, collaboratrice
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