Ce qu’on a vu—octobre 2025
Théâtre, danse, cinéma... Voici les recommandations de l'équipe de «Nouveau Projet» ce mois-ci.

Après Les faux tatouages (2017) et Nadia, Butterfly (2020), le cinéaste Pascal Plante s’immerge dans l’univers scabreux d’un tueur en série. Réaliste et dérangeant, son nouveau film nous force à réévaluer notre rapport aux documentaires de style true crime. Voici Les chambres rouges.
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Modifier mes préférencesLes chambres rouges, de Pascal Plante
À voir au cinéma
Il suffit parfois d’une seule scène pour qu’un film marque à jamais les esprits. C’est le cas avec ce thriller québécois dont la signature visuelle, et surtout sonore, se met au service d’une économie narrative subtile et bien ficelée. Malgré le jeu parfois inégal des acteur·trice·s, ou peut-être est-ce le résultat d’un texte mielleux par endroits, le long-métrage fait forte impression. Une scène en particulier reste gravée dans la mémoire, tellement elle conjugue avec finesse la trame sonore, l’image, les exigences d’un film où le suspense doit rester au premier plan.
— Héloïse Henri, collaboratrice
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Paru en 1985 mais revu cette année aux Éditions de Minuit à partir des tapuscrits originaux et d’un texte resté inédit, «La mémoire et les jours» de Charlotte Delbo ressurgit comme une œuvre brulante d’actualité, entre mémoire des camps et solidarité face aux violences qui se répètent aujourd’hui encore.

Avec ses compositions élégantes et sans artifice, la jeune Canadienne Noeline Hofmann insuffle au country traditionnel toute la force brute et la poésie des plaines de l’Ouest.

Si vous êtes à la recherche d’un bon plan cinéma-maison, vous l’avez trouvé: «Sorry, Baby», premier long-métrage de l’audacieux·se Eva Victor, qui dresse avec délicatesse et une pointe d’humour le portrait d’une jeune femme qui tente de reprendre pied après un traumatisme.