Ce qu’on écoute—septembre 2025
Avec ses compositions élégantes et sans artifice, la jeune Canadienne Noeline Hofmann insuffle au country traditionnel toute la force brute et la poésie des plaines de l’Ouest.
Après Les faux tatouages (2017) et Nadia, Butterfly (2020), le cinéaste Pascal Plante s’immerge dans l’univers scabreux d’un tueur en série. Réaliste et dérangeant, son nouveau film nous force à réévaluer notre rapport aux documentaires de style true crime. Voici Les chambres rouges.
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Modifier mes préférencesLes chambres rouges, de Pascal Plante
À voir au cinéma
Il suffit parfois d’une seule scène pour qu’un film marque à jamais les esprits. C’est le cas avec ce thriller québécois dont la signature visuelle, et surtout sonore, se met au service d’une économie narrative subtile et bien ficelée. Malgré le jeu parfois inégal des acteur·trice·s, ou peut-être est-ce le résultat d’un texte mielleux par endroits, le long-métrage fait forte impression. Une scène en particulier reste gravée dans la mémoire, tellement elle conjugue avec finesse la trame sonore, l’image, les exigences d’un film où le suspense doit rester au premier plan.
— Héloïse Henri, collaboratrice
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Si vous êtes à la recherche d’un bon plan cinéma-maison, vous l’avez trouvé: «Sorry, Baby», premier long-métrage de l’audacieux·se Eva Victor, qui dresse avec délicatesse et une pointe d’humour le portrait d’une jeune femme qui tente de reprendre pied après un traumatisme.
Ce mois-ci marque les cinq ans du décès de David Graeber, cet anthropologue anarchiste qui a rassemblé des légions de fans partout dans le monde. Ses essais critiquent vivement l’ordre établi et imaginent, avec audace et espoir, des alternatives face aux crises actuelles.
Montréal vibre au rythme du FTA, évènement théâtral attendu de pied ferme par les membres de notre équipe. Voici les spectacles qui nous ont impressionné·e·s jusqu’à présent.