Ce qu’on a vu—mai 2025
Montréal vibre au rythme du FTA, évènement théâtral attendu de pied ferme par les membres de notre équipe. Voici les spectacles qui nous ont impressionné·e·s jusqu’à présent.
Après Les faux tatouages (2017) et Nadia, Butterfly (2020), le cinéaste Pascal Plante s’immerge dans l’univers scabreux d’un tueur en série. Réaliste et dérangeant, son nouveau film nous force à réévaluer notre rapport aux documentaires de style true crime. Voici Les chambres rouges.
Ce contenu a été bloqué puisqu'il provient d'un service externe qui pourrait nécessiter des témoins qui contreviennent à vos préférences.
Modifier mes préférencesLes chambres rouges, de Pascal Plante
À voir au cinéma
Il suffit parfois d’une seule scène pour qu’un film marque à jamais les esprits. C’est le cas avec ce thriller québécois dont la signature visuelle, et surtout sonore, se met au service d’une économie narrative subtile et bien ficelée. Malgré le jeu parfois inégal des acteur·trice·s, ou peut-être est-ce le résultat d’un texte mielleux par endroits, le long-métrage fait forte impression. Une scène en particulier reste gravée dans la mémoire, tellement elle conjugue avec finesse la trame sonore, l’image, les exigences d’un film où le suspense doit rester au premier plan.
— Héloïse Henri, collaboratrice
Nouveau Projet, c'est du contenu original et de grande qualité, des privilèges exclusifs, et bien plus encore.
Achetez un accès à cet article ou activez dès maintenant votre abonnement à Nouveau Projet pour lire le reste de ce texte.
Déjà membre? Ouvrir une session.Montréal vibre au rythme du FTA, évènement théâtral attendu de pied ferme par les membres de notre équipe. Voici les spectacles qui nous ont impressionné·e·s jusqu’à présent.
On fait le plein de chansons en letton, en albanais et en allemand au lendemain de l’Eurovision. Pleins feux sur les artistes les plus avant-gardistes et musicalement intéressants du concours (parce que oui, il y en a).
Dans «Hewa Rwanda», le dramaturge et acteur kigalien Dorcy Rugamba jette un éclairage nouveau sur le génocide auquel il a échappé. D’ailleurs, le continent africain est très bien représenté à la 19e édition du FTA.
La primoromancière Myriam de Gaspé impressionne avec «L’embouchure», un livre traversé par le fleuve Saint-Laurent qui parait ces jours-ci aux éditions Les Herbes rouges.