Ce qu’on a lu—mai 2025
La primoromancière Myriam de Gaspé impressionne avec «L’embouchure», un livre traversé par le fleuve Saint-Laurent qui parait ces jours-ci aux éditions Les Herbes rouges.
Minimalistes et toutes en rondeurs, les cases du bédéiste Alex Lévesque détonnent dans le panorama du 9e art au Québec. On a mis la main sur son premier album.
Le dessin humoristique, courant à part entière un temps mené par Gary Larson, Philippe Geluck ou Jake Raynal, s’est aujourd’hui installé sur Instagram. Alex Lévesque, qui se frotte à l’exercice depuis sept ans sur son compte «Dessine Bandé», s’est lancé dans le grand bain du format papier au début du mois. Et le passage du numérique à l’analogique est réussi: en quelques cases et pas beaucoup plus de coups de crayon, en jouant avec ses contraintes et en aiguisant ses chutes, l’auteur livre 160 pages de bonnes blagues, de jeux de mots et de twists dignes de Chubby Checker. Une bédé à grignoter lors de sa semaine de détox numérique.
— Nemo Lieutier, adjoint éditorial
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Alan Lake a habitué le public à des chorégraphies spectaculaires, et sa nouvelle proposition ne déçoit pas.
Dystopie et reconquête de la nature se conjuguent sous la plume de Gabrielle Filteau-Chiba, une autrice écoféministe qui publie aux éditions XYZ. On a lu son plus récent titre, «Hexa», qui est actuellement en lice pour le Prix des libraires.