Ce qu’on a vu—mai 2025
Montréal vibre au rythme du FTA, évènement théâtral attendu de pied ferme par les membres de notre équipe. Voici les spectacles qui nous ont impressionné·e·s jusqu’à présent.
Une brise de nostalgie souffle sur l’été qui approche avec une reprise musicale improbable. Elisapie revisite ses souvenirs des années 1980 en chantant «Time After Time», le classique de Cindy Lauper, en inuktitut.
«Taimangalimaaq (Time After Time)»
Elisapie
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Modifier mes préférencesAprès avoir été reprise tour à tour par Miles Davis, Eva Cassidy et P!nk, c’est au tour d’Elisapie de nous proposer une interprétation de «Time After Time», ce classique bienaimé de Cyndi Lauper. Le titre, emprunté par Lauper elle-même à un film de science-fiction sorti en 1979, évoque le rapprochement que la chanteuse a voulu faire entre le sentiment amoureux et l’univers science-fictionnel des machines à voyager dans le temps. Cette fois, la magie opère—à notre plus grand bonheur—en inuktitut.
— Julie Francoeur, rédactrice en chef adjointe
That! Feels Good!
Jessie Ware
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Modifier mes préférencesElle ne réinvente pas la roue, Jessie Ware, mais elle crée possiblement l’un des meilleurs pastiches de chansons pop des années 1970. S’inscrivant dans la même veine que son opus précédent (What’s Your Pleasure?), les chansons de That! Feels Good! poussent l’exercice de style disco encore plus loin. Et c’est un style musical qui sied bien à la voix puissante de la Britannique, de même qu’à son propos sex positive ancré dans le féminisme de troisième vague. Un album qui appelle à la danse, à la fête, et aux ébats amoureux égalitaires.
— Catherine Genest, cheffe de pupitre numérique
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Dans «Hewa Rwanda», le dramaturge et acteur kigalien Dorcy Rugamba jette un éclairage nouveau sur le génocide auquel il a échappé. D’ailleurs, le continent africain est très bien représenté à la 19e édition du FTA.
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