Ce qu’on a vu—octobre 2025
Théâtre, danse, cinéma... Voici les recommandations de l'équipe de «Nouveau Projet» ce mois-ci.

Les chansons sans âge de Myriam Gendron semblent porter le poids des générations de musiciennes qui sont venues avant elle.
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Modifier mes préférencesMayday
Myriam Gendron
Myriam Gendron, la folkeuse montréalaise qui sait arrêter le temps, nous invite à nouveau à traverser son univers clair-obscur. Teinté d’amour et de deuil (thèmes universels du folk, interprétés ici de la plus personnelle des manières), mais aussi imbibé d’une impression de fin du monde, Mayday est la suite logique de Ma délire—Songs of love, lost & found, sa sortie précédente qui avait conquis la critique franco et anglo à l’international. Sincère sans être fragile, l’album nous désarçonne par son infinie simplicité. Silence. Guitare. Douleur. Douceur. Et cette «Berceuse» finale, puissante, tourmentée par le saxophone pleureur de Zoh Amba.
— Jean-François Proulx, directeur artistique, Nouveau Projet
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Paru en 1985 mais revu cette année aux Éditions de Minuit à partir des tapuscrits originaux et d’un texte resté inédit, «La mémoire et les jours» de Charlotte Delbo ressurgit comme une œuvre brulante d’actualité, entre mémoire des camps et solidarité face aux violences qui se répètent aujourd’hui encore.

Avec ses compositions élégantes et sans artifice, la jeune Canadienne Noeline Hofmann insuffle au country traditionnel toute la force brute et la poésie des plaines de l’Ouest.

Si vous êtes à la recherche d’un bon plan cinéma-maison, vous l’avez trouvé: «Sorry, Baby», premier long-métrage de l’audacieux·se Eva Victor, qui dresse avec délicatesse et une pointe d’humour le portrait d’une jeune femme qui tente de reprendre pied après un traumatisme.