Ce qu’on a lu—mai 2025
La primoromancière Myriam de Gaspé impressionne avec «L’embouchure», un livre traversé par le fleuve Saint-Laurent qui parait ces jours-ci aux éditions Les Herbes rouges.
Avec des titres comme tu penses-tu, désert alimentaire et tranquillement pas vite, le groupe comment debord (en minuscules, s’il vous plait) incarne une certaine idée du Québec nouveau et de la vie en ville, à Montréal. Des héritier·ère·s de Beau Dommage?
monde autour
comment debord
Trois ans après sa première offrande, le septuor montréalais comment debord revient avec un superbe album qui résonne de candeur et de caractère. Avec 12 titres qui possèdent «juste le bon niveau de clarté dans les idées», l’album sans majuscule fait mouche grâce à une maturité musicale et une identité que l’on sent bien formée. Heureux mélange de country, de disco, de funk et de folk, la musique du groupe se distingue également par ses paroles: accessibles et poétiques. Il s’avère difficile de ne pas les fredonner en marchant sur la fin de l’automne.
— Héloïse Henri, collaboratrice
Activez dès maintenant votre abonnement à Nouveau Projet pour lire le reste de ce texte. Du contenu original et de grande qualité, des privilèges exclusifs, et bien plus encore.
Voir les forfaitsDéjà membre? Ouvrir une session.La primoromancière Myriam de Gaspé impressionne avec «L’embouchure», un livre traversé par le fleuve Saint-Laurent qui parait ces jours-ci aux éditions Les Herbes rouges.
Laval n’a jamais été aussi cool, comme en fait foi «Ravaru», le premier album très attendu du producteur et compositeur High Klassified.
Alan Lake a habitué le public à des chorégraphies spectaculaires, et sa nouvelle proposition ne déçoit pas.
Dystopie et reconquête de la nature se conjuguent sous la plume de Gabrielle Filteau-Chiba, une autrice écoféministe qui publie aux éditions XYZ. On a lu son plus récent titre, «Hexa», qui est actuellement en lice pour le Prix des libraires.