Ce qu’on a lu—mai 2025
La primoromancière Myriam de Gaspé impressionne avec «L’embouchure», un livre traversé par le fleuve Saint-Laurent qui parait ces jours-ci aux éditions Les Herbes rouges.
Evelyne de la Chenelière, figure incontournable de notre dramaturgie, mais aussi des lettres québécoises au sens large, livre ses «fables amorales» aux éditions Les Herbes rouges. Un ouvrage à mettre entre toutes les mains.
Les traits difficiles
Evelyne de la Chenelière (Les Herbes rouges)
C’est un livre à lire lentement, et à haute voix, tant il est magnifique. On reconnait toute la finesse et l’intelligence de l’écriture d’Evelyne de la Chenelière (à qui on doit plus d’une dizaine de pièces de théâtre, dont Nous reprendrons tout ça demain publié dans notre collection Pièces). Presque comme des fables, ces courts récits bouleversants et habilement liés traitent de notre inévitable besoin d’aimer et d’exister, de nos hontes, nos angoisses, nos perceptions parfois trompeuses, nos monologues intérieurs. Véritable coup de cœur.
— Marc-Antoine Sinibaldi, responsable du service client, Atelier 10
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