Ce qu’on a lu—mai 2025
La primoromancière Myriam de Gaspé impressionne avec «L’embouchure», un livre traversé par le fleuve Saint-Laurent qui parait ces jours-ci aux éditions Les Herbes rouges.
La violence conjugale est aussi l'apanage des filles à peine sorties de l’adolescence, comme en fait foi ce brulot de l’autrice Angelina Guo, la nouvelle recrue du Quartanier, une écrivaine montréalaise qui étudie actuellement à la Sorbonne.
Comparution
Angelina Guo (Le Quartanier)
Le premier livre d’Angelina Guo (née en 2001, ce qui ne rajeunit personne) a le potentiel de secouer les colonnes du temple, de froisser des gens qui travaillent dans nos palais de justice. Si on se réjouit de voir cette autrice talentueuse se mettre au monde d’aussi bon matin, il faut bien admettre que cet ouvrage est aussi terriblement déprimant. On y découvre toute l’ampleur du travail qu’il reste à faire pour que cessent les violences faites aux jeunes femmes, celles que la révolution #MoiAussi n’a pas su protéger. Ça fend le cœur.
— Catherine Genest, cheffe de pupitre numérique, Nouveau Projet
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