Humoriste abasourdie
Quels mots utiliser pour décrire le travail de Virginie Fortin? Dans cet extrait de «Mes sentiments», le 2e titre de notre collection «Humour», la principale intéressée se prête à un étonnant exercice d’introspection.
En amour, l’humain a-t-il été conçu pour se limiter à un·e partenaire? Catherine Dorion croit que non. Elle plaide pour un assouplissement des mœurs dans Les luttes fécondes, son essai tiré de notre collection Documents.
Le polyamour. Jules César et Jacques Attali. La sexualité comme construction sociale. Les mariages fictifs chez les Nairs de Malabar et du Kerala. Les couples ouverts.
Puis vient le christianisme. Nul au monde, avant lui, n’a prétendu imposer à l’espèce humaine tout entière une monogamie absolue, une fidélité totale, une relation irréversible.
Dans son livre Amours. Histoires des relations entre les hommes et les femmes, Jacques Attali fait un large et fascinant survol d’époques et de cultures.
César, juste avant sa mort, s’apprêtait à promulguer une loi accordant aux femmes le droit de prendre autant de maris qu’elles le voulaient.
Chez les Gyndanes, qui vivaient il y a très longtemps près de Carthage, la femme portait un grand nombre de bracelets de cuir aux chevilles. Chaque bracelet représentait un homme auquel elle s’était unie. Plus il y en avait, plus la femme était digne de respect, puisque nombreux étaient les hommes qui l’avaient aimée.
Chez les Arabes d’avant l’islam, un groupe d’au plus neuf hommes pouvait avoir des relations avec une même femme; ils pouvaient aussi obtenir d’un mari le droit d’être les amants d’une de ses épouses.
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Voir les forfaitsDéjà membre? Ouvrir une session.Quels mots utiliser pour décrire le travail de Virginie Fortin? Dans cet extrait de «Mes sentiments», le 2e titre de notre collection «Humour», la principale intéressée se prête à un étonnant exercice d’introspection.
On peut être mère et tenir les nullipares en estime, et vice versa. En phase avec le commentaire de «Nouveau Projet 29», articulé autour de la production littéraire des femmes sans enfants, cette conversation entre Laurence Côté-Fournier (mère de trois enfants) et notre cheffe de pupitre numérique (mère de personne) vise à rapprocher ces deux solitudes.
Marqué par une quête de beauté, l’essai «Les paysages intérieurs» dit le deuil des paysages disparus ou transformés à travers le concept de solastalgie. Voici un extrait du dernier titre de notre collection «Documents».
À l’intersection de la vie en société et de l’expérience individuelle des arts, il est possible de trouver une solution au sentiment d’impuissance qui nous habite souvent. Voici un extrait de «Territoires d’engagement», le deuxième titre de notre collection «Le temps debout».