Ce qu’on a vu—mai 2025
Montréal vibre au rythme du FTA, évènement théâtral attendu de pied ferme par les membres de notre équipe. Voici les spectacles qui nous ont impressionné·e·s jusqu’à présent.
Larissa Corriveau se fait le double de Monique Miller, 90 ans, dans Les voix humaines, l’un des spectacles les plus étonnants de l’automne, à Montréal.
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Modifier mes préférencesLes voix humaines, de Larissa Corriveau et Monique Miller
À voir à Espace Libre jusqu’au 12 novembre
L’œuvre (plus que la vie) de Monique Miller se révèle par fragments, avec beaucoup de mystère–vous l’aurez déduit–et même de pudeur dans ce «poème scénique» mis en scène par Félix-Antoine Boutin. Doublé d’une installation vidéo présentée en amont, ce spectacle inclassable, aux propensions plus expérimentales que documentaires, donne à voir une actrice vive et vibrante, à la hauteur de sa réputation et en pleine possession de ses moyens. Ça force l’admiration, inévitablement, mais je dois admettre que ma curiosité, sans doute assez indiscrète, n’a pas été totalement sustentée. À quand un film ou un livre biographique sur cette grande dame si fascinante?
— Catherine Genest, cheffe de pupitre numérique, Nouveau Projet
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Dans «Hewa Rwanda», le dramaturge et acteur kigalien Dorcy Rugamba jette un éclairage nouveau sur le génocide auquel il a échappé. D’ailleurs, le continent africain est très bien représenté à la 19e édition du FTA.
La primoromancière Myriam de Gaspé impressionne avec «L’embouchure», un livre traversé par le fleuve Saint-Laurent qui parait ces jours-ci aux éditions Les Herbes rouges.