Ce qu’on a vu—mai 2025
Montréal vibre au rythme du FTA, évènement théâtral attendu de pied ferme par les membres de notre équipe. Voici les spectacles qui nous ont impressionné·e·s jusqu’à présent.
Fruits de mer de l’Outaouais, anguille fumée du Kamouraska, ambiance digne de la Ville Lumière. Cette semaine, on s’évade loin, loin de la ville. Ou on fait comme si.
Les Fougères
783, route 105 (Chelsea)
Loin de l’effervescence des grandes villes, le restaurant Les Fougères mêle cuisine saisonnière, magasin d’aliments bios et pizzas cuites au four à bois. En plein cœur des sentiers boisés de l’Outaouais, on peut y déguster du canard confit et des fruits de mer de la région, tout en buvant un vin nature conseillé par un sommelier connaisseur. Une adresse à retenir, qui figure d’ailleurs sur la liste des 100 meilleurs restos au Canada.
— Maïka Sondarjee, membre du comité éditorial
Tabac Villeray
1370, rue Villeray (Montréal)
Pas les sous pour un vol Montréal-Paris? Pas de problème. Les cochonnailles et la sélection de vins du Tabac Villeray rappellent les buvettes de la Ville Lumière. En plus, le décor aux teintes pastel enveloppe et inspire. J’y retournerai avec un petit carnet ou avec mon ordinateur portable pour écrire, bercée par la sélection musicale d’une autre époque.
— Catherine Genest, cheffe de pupitre numérique
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On fait le plein de chansons en letton, en albanais et en allemand au lendemain de l’Eurovision. Pleins feux sur les artistes les plus avant-gardistes et musicalement intéressants du concours (parce que oui, il y en a).
Dans «Hewa Rwanda», le dramaturge et acteur kigalien Dorcy Rugamba jette un éclairage nouveau sur le génocide auquel il a échappé. D’ailleurs, le continent africain est très bien représenté à la 19e édition du FTA.
La primoromancière Myriam de Gaspé impressionne avec «L’embouchure», un livre traversé par le fleuve Saint-Laurent qui parait ces jours-ci aux éditions Les Herbes rouges.