Ce qu’on a vu—mai 2025
Montréal vibre au rythme du FTA, évènement théâtral attendu de pied ferme par les membres de notre équipe. Voici les spectacles qui nous ont impressionné·e·s jusqu’à présent.
L’année 2024 commence sous le signe de la guérison avec un film inuit qui porte un éclairage nouveau sur les femmes qui vivent au nord du 60e parallèle. Voici ᑕᐅᑐᒃᑕᕗᒃ Tautuktavuk (Sous nos yeux).
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Modifier mes préférencesᑕᐅᑐᒃᑕᕗᒃ Tautuktavuk (Sous nos yeux), de Lucy Tulugarjuk et Carol Kunnuk
À voir au Cinéma Moderne (Montréal) et au Cinéma Beaumont (Québec)
Après avoir été présenté et primé l’automne dernier au TIFF, ce portrait à la fois déchirant et lumineux de deux femmes inuites, à mi-chemin entre le documentaire et la fiction, risque malheureusement de passer en coup de vent en salle. Deux sœurs, Saqpinak et Uyarak (campées par les deux réalisatrices) sont séparées par des milliers de kilomètres alors que la pandémie de Covid-19 éclate. L’une est à Igloulik au Nunavut, l’autre a quitté la petite communauté arctique pour Montréal après un épisode traumatique. Au fil de rencontres en visioconférence, les meilleures amies se confient, partagent leur vulnérabilité et leur résilience. Épaulées par leur famille et leur communauté, elles tracent vaillamment leur chemin vers la guérison, qui culminera avec des retrouvailles bouleversantes à Igloulik.
— Jason Béliveau, critique cinéma, Nouveau Projet
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On fait le plein de chansons en letton, en albanais et en allemand au lendemain de l’Eurovision. Pleins feux sur les artistes les plus avant-gardistes et musicalement intéressants du concours (parce que oui, il y en a).
Dans «Hewa Rwanda», le dramaturge et acteur kigalien Dorcy Rugamba jette un éclairage nouveau sur le génocide auquel il a échappé. D’ailleurs, le continent africain est très bien représenté à la 19e édition du FTA.
La primoromancière Myriam de Gaspé impressionne avec «L’embouchure», un livre traversé par le fleuve Saint-Laurent qui parait ces jours-ci aux éditions Les Herbes rouges.