«Kukum»: deuil, espoir et quelques bémols
Très attendue, l’adaptation du bestseller de Michel Jean comporte quelques accrocs. On a parfois l’impression que les acteur·trice·s ne jouent pas dans le même spectacle.
Siestes, mangues et odeur de café rythment le nouvel ouvrage de Dany Laferrière comme autant de motifs récurrents dans l’œuvre d’un peintre. Mais l’académicien a-t-il seulement de nouvelles choses à dire?
Après ses romans dessinés, un recueil de poèmes illustré et son Petit traité sur le racisme, Dany Laferrière persiste et signe un livre qui, encore une fois, résiste à toute catégorisation. Dans Un certain art de vivre, des textes courts tracent les contours de la vie de l’auteur, de son rapport à l’écriture, à l’amour, à l’exil. Parfois idées mises en poèmes, parfois aphorismes, ces efforts construisent une série éparpillée et nonchalante d’instants, dans lesquels on dérive plus que l’on avance.
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Voir les forfaitsDéjà membre? Ouvrir une session.Très attendue, l’adaptation du bestseller de Michel Jean comporte quelques accrocs. On a parfois l’impression que les acteur·trice·s ne jouent pas dans le même spectacle.
L’écrivain a enlevé le «in» de son prénom, bien qu’il ne l’ait jamais autant été. Populaire au possible, le lauréat du plus récent prix Médicis livre ici sa quatrième œuvre en carrière.
La Terre tourne autour de Ricardo, même lorsque Ricardo fait le tour du monde, dans ce nouveau film empreint de l’autodérision «feel-good» des trois précédents titres de la série.
Le Néoécossais se risque à une large palette de styles musicaux sur cet album homonyme audacieux, certes, mais qui manque grandement de cohésion.