«Kukum»: deuil, espoir et quelques bémols
Très attendue, l’adaptation du bestseller de Michel Jean comporte quelques accrocs. On a parfois l’impression que les acteur·trice·s ne jouent pas dans le même spectacle.
Nul doute que le nombre d’abonnements à ICI TOU.TV connait un pic ces jours-ci, depuis qu’a été téléversé le dernier chapitre de la série de François Létourneau. Mais la flute en vaut-elle la chandelle?
Si l’on utilisait une formule au rythme ternaire, on dirait que la troisième saison de C’est comme ça que je t’aime (CCCQJT) est moins bonne que la deuxième. Qui elle était moins bonne que la première. Qui elle était simplement exceptionnelle. Cela ferait tout de même du dernier tour de piste des caïds de Sainte-Foy un évènement télévisuel prodigieux, bien que le out s’avère finalement moins gros que le in (pour parler comme les gens du milieu).
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Voir les forfaitsDéjà membre? Ouvrir une session.Très attendue, l’adaptation du bestseller de Michel Jean comporte quelques accrocs. On a parfois l’impression que les acteur·trice·s ne jouent pas dans le même spectacle.
L’écrivain a enlevé le «in» de son prénom, bien qu’il ne l’ait jamais autant été. Populaire au possible, le lauréat du plus récent prix Médicis livre ici sa quatrième œuvre en carrière.
La Terre tourne autour de Ricardo, même lorsque Ricardo fait le tour du monde, dans ce nouveau film empreint de l’autodérision «feel-good» des trois précédents titres de la série.
Le Néoécossais se risque à une large palette de styles musicaux sur cet album homonyme audacieux, certes, mais qui manque grandement de cohésion.