Calendrier culturel—novembre 2023
«Whitehorse», la bande dessinée en deux tomes de Samuel Cantin, prend vie sur les planches de Duceppe dans une adaptation théâtrale réunissant Sébastien Tessier, Éric Bernier, Sonia Cordeau et Guillaume Laurin.
«Whitehorse», la bande dessinée en deux tomes de Samuel Cantin, prend vie sur les planches de Duceppe dans une adaptation théâtrale réunissant Sébastien Tessier, Éric Bernier, Sonia Cordeau et Guillaume Laurin.
Léa Clermont-Dion fait équipe avec Le Cheval d’août pour publier «Porter plainte», un livre où l’intime et le politique s’entremêlent.
Après avoir fait la tournée des festivals cet été avec Bon Enfant, Alex Burger s’apprête à reprendre la route pour défendre son projet solo, ses chansons aux accents country qui s’agencent bien aux couleurs de l’automne.
Ève Landry, Patrice Dubois et Stephie Mazunya se donnent la réplique dans «Corde. Raide». Traduite par Fanny Britt, cette pièce britannique est à l’affiche ces jours-ci à Montréal.
Au début des années 1980, Daniel Lavoie est à la croisée des chemins. Même si la critique l’acclame, il peine encore à vivre de son métier. Déterminé, le musicien se résout alors à jouer le tout pour le tout.
Chloé Robichaud renoue avec Sophie Desmarais, sa muse de la première heure et actrice porte bonheur, dans le film «Les jours heureux». Un drame qui s’articule autour d’une cheffe d’orchestre en pleine ascension.
Après un passage remarqué au Festival de Cannes, le troisième long-métrage de Monia Chokri se déploie enfin sur nos écrans, imaginant sous des apparences de comédie romantique les déflagrations qu’occasionnera l’union passionnelle d’une femme et d’un homme que tout oppose.
Présentée il y a six ans à Premier Acte, un théâtre intime de 80 places à Québec, la pièce «Hypo» de Nicola-Frank Vachon a droit à un deuxième tour de piste grâce au bédéiste Paul Bordeleau.
Plus d’une décennie après la dissolution du groupe La Patère rose, Fanny Bloom poursuit sa route en solo. Elle s’apprête à lever le voile sur son quatrième album de compositions originales.
Beaucoup d’artistes se lancent dans des projets qui ne verront jamais le jour. Il y va des risques du métier, des aléas de la vocation. Sauf que c’est inhabituel, rarissime même, que des œuvres terminées restent scellées sous vide. Pourtant, c’est précisément ce qui est arrivé ce printemps pour un film québécois.
Après «Les faux tatouages» (2017) et «Nadia, Butterfly» (2020), le cinéaste Pascal Plante s’immerge dans l’univers scabreux d’un tueur en série. Réaliste et dérangeant, son nouveau film nous force à réévaluer notre rapport aux documentaires de style «true crime». Voici «Les chambres rouges».