De ce que l’on représente
Pour Schopenhauer, le vrai bonheur ne pouvait venir que de soi, pas de l’opinion des autres. Une idée encore très appropriée à notre époque, tournée vers les apparences et la quête de la célébrité. Dans cet essai, tiré de ses Aphorismes sur la sagesse dans la vie, le philosophe nous parle de vanité, d’orgueil et de gloire.