Le Montréal qui aurait pu être
Montréal s’est énormément transformé, entre les années 1950 et aujourd’hui. Mais les changements auraient pu être encore plus substantiels, si ses décideurs avaient pu aller au bout de leurs (gigantesques) ambitions.
Montréal s’est énormément transformé, entre les années 1950 et aujourd’hui. Mais les changements auraient pu être encore plus substantiels, si ses décideurs avaient pu aller au bout de leurs (gigantesques) ambitions.
Des communautés fouriéristes, anarchistes et socialistes du 19e siècle aux villes écolos-intelligentes d’aujourd’hui, survol d’une douzaine de ces endroits où l’on a osé croire à une vie meilleure.
Petite sélection de mots et d’outils conceptuels qui peuvent nous aider à penser les croyances.
On le répète depuis longtemps: les médias vont mal. Que faire, à partir de ce constat? Au lieu de se lamenter en attendant une très hypothétique solution miracle, plusieurs jeunes et moins jeunes ont choisi de créer leur propre média.
Que ce soit pour ressusciter l’archétype de la parfaite ménagère ou pour se donner une posture woke, la classe politique travaille fort à séduire les femmes. Pour le meilleur, mais surtout pour le pire.
On ne donnait pas cher de la peau du Cinéma Beaubien au tournant du millénaire. Mais, contre toute attente, cette institution montréalaise a su renaitre de ses cendres. Une franche et improbable réussite qui a le potentiel d’inspirer d’autres villes du Québec.
Journalistes, littéraires, activistes, dramaturges... Leur prise de parole détonne juste assez dans le bruit ambiant pour nourrir les débats et les réflexions. Pleins feux sur ceux et celles qui ont marqué 2022 avec leur texte paru dans Nouveau Projet, ou ailleurs à Atelier 10.
Pris en étau entre le Vieux-Montréal et le secteur de la Place des Arts, le quartier chinois de Montréal résiste de peine et de misère à la menace des bulldozers. Et c’est précisément le sujet du nouveau documentaire de la réalisatrice Karen Cho.
L’autrice de «La fille d’elle-même» partage ses conseils à l’intention des adultes qui côtoient de jeunes personnes transgenres. Pour mieux les accueillir et leur permettre de grandir dans un environnement aussi serein et sûr que possible.
Intimité amputée, porno interdite, rapprochements réprimés. Le code de vie de certaines maisons de soins palliatifs complique l’accès au plaisir du corps. Pourtant, faire l’amour ou se masturber peut panser les maux.
Grands sont les défis auxquels font face les femmes judiciarisées, et à plus forte raison si elles ont passé du temps «en dedans», dans un centre de détention. L’une d’elles, autrice et militante de son état, témoigne concrètement des embuches qui se dressent devant elle et ses sœurs.