Sous les saules: la vie avec un cancer incurable à 30 ans
Comment réagir quand on apprend que l'avenir ne sera pas pour nous? Journal du temps qui se tarit trop vite.
Comment réagir quand on apprend que l'avenir ne sera pas pour nous? Journal du temps qui se tarit trop vite.
Un philosophe nous convie à mettre en application les découvertes de l’estimé psychologue israélo-américain, considéré comme l’un des principaux contributeurs à l’économie dite comportementale.
Près de 17% des Québécois ont eu recours aux antidépresseurs en 2022. Avec la pénurie de psychiatres et de psychologues, tant au public qu’au privé, nul doute que la tendance n’est pas en voie de se renverser.
Notre incapacité à penser le suicide comme une décision lucide nous empêche-t-elle de nous engager plus profondément dans nos vies?
Qu’arriverait-il si nous faisions le choix individuel et collectif d’une vision plus rose de l’avenir?
Qu’est-ce qu’il faudrait éviter de dire à une personne atteinte d’un cancer? Cet extrait du guide «Cancer: mode d’emploi» cible les phrases qui peuvent blesser ou taper sur les nerfs des gens qui doivent déjà composer avec la douleur et la peur.
Ceux qui ont déjà perdu un être cher savent que la véritable empathie est rare. Notre entourage nous sert des platitudes blessantes et s’attend à ce que nous passions rapidement à autre chose. Résultat, le deuil n’a nulle part où aller et crée des ravages souterrains.
De plus en plus d’études scientifiques démontrent que les ordinateurs, téléphones intelligents et autres appareils électroniques modifient radicalement la structure même de notre cerveau, et donc notre capacité à entretenir certains types de réflexions et à ressentir certaines expériences. Un impact qui va au coeur même de ce que ça veut dire, d’être humain.
Malêtre aux mille visages, la dépression, souvent perçue et traitée comme une lutte individuelle, prend pourtant racine dans l’expérience collective de vivre.
La procrastination est irrationnelle: elle implique de remettre à plus tard une action que nous devrions poser maintenant, en sachant très bien que nous allons le regretter. Pourquoi procrastinons-nous, alors? Devons-nous accepter la procrastination comme une propriété intrinsèque à la nature humaine, ou pouvons-nous la combattre?