Monde
D'Oman au Honduras, quatre correspondant·e·s nous donnent des nouvelles de leur coin du monde.

D'Oman au Honduras, quatre correspondant·e·s nous donnent des nouvelles de leur coin du monde.


L’ancienne députée de Gouin et porte-parole parlementaire de Québec solidaire nous raconte son dernier semestre (et un peu plus!).

Depuis 2013, un professeur de McGill distille sur les réseaux sociaux des blagues pour universitaires au bord de la crise de nerfs. Ressorts cathartiques pour rire des tensions qui traversent ce milieu, les publications de Shit Academics Say en disent aussi long sur les mutations du travail, en général.

Des voix s’élèvent pour dénoncer le sexisme que subissent les femmes dans de nombreux domaines: politique, musique, gastronomie. Le milieu littéraire québécois échapperait-il miraculeusement à cette iniquité rampante?

De scandale en scandale, la notion d’appropriation culturelle suscite l’ire des médias conservateurs, la folie sur les campus et la circonspection d’une partie de la population. Mais de quoi parle-t-on, au juste?

Mélange de questionnements, de réflexions et d’exercices, les Pensées de l’empereur romain Marc Aurèle ne devaient pas être lues par d’autres. Dans ces aphorismes rédigés en grec entre 161 et 180, nous retrouvons un homme qui cherche à se comprendre et à saisir le sens du monde.

Nous accommodons tout à la sauce «slow». Pourquoi ne pas faire la même chose quand nous communiquons avec nos proches? Revenir à l’épistolaire. Et ralentir, par amour et par subversion.

En 2017, l’information nous parvient de tous les côtés, à la vitesse de la fibre optique mais aussi du bon vieux bouche à oreille. Comment se rend-elle à nous? Nous avons demandé à des Québécois de tous âges et de tous milieux de nous parler de leur principale source d’information.

On le répète depuis longtemps: les médias vont mal. Que faire, à partir de ce constat? Au lieu de se lamenter en attendant une très hypothétique solution miracle, plusieurs jeunes et moins jeunes ont choisi de créer leur propre média.

D’où vient notre plaisir de parler des absents, cette tendance à nous délecter de leurs erreurs, à nous amuser de leurs défauts, à vivre leurs frasques par procuration?