Pays d’un reflet
Ralph Elawani goute au multiculturalisme canadien en fêtant le 1er juillet dans un petit hameau des Prairies.
Ralph Elawani goute au multiculturalisme canadien en fêtant le 1er juillet dans un petit hameau des Prairies.
Maïté Belmir est allée rencontrer la communauté discrète, établie au pays depuis une quinzaine d’années.
Cynthia Morinville attire notre attention sur le risque que représente le développement d’une zone d’innovation axée sur la transition énergétique, annoncé en mai dernier.
Au large des côtes du Bas-Saint-Laurent, Hugo Latulippe médite sur les impasses qui nous guettent et s’accroche à quelques gestes qui ravivent l’espoir.
Elle est l’une des figures phares de la forme physique à Sorel-Tracy. Du moins, pour ceux et celles qui y ont fait leurs études primaires dans les années 1990.
Alors que les frontières se referment et que grandissent la peur de l’autre et le désir de nous retrouver «entre nous», quel espoir y a-t-il pour l’entraide dont nous avons si cruellement besoin, en ce moment critique?
Avant les usines de batteries, il y a eu les alumineries. Le Québec est-il contraint d’offrir de généreux cadeaux aux multinationales pour les attirer sur son territoire? Chose certaine, depuis des décennies, aucun de nos gouvernements n’a su forcer Rio Tinto Alcan à respecter ses engagements.
Comment réagir quand on apprend que l'avenir ne sera pas pour nous? Journal du temps qui se tarit trop vite.
À l’heure de l’inflation et des commentaires qui pullulent sur Google Maps, les conditions de travail semblent se détériorer dans le milieu de la restauration. C’est du moins ce qu’on déduit après discussion avec quatre serveur·euse·s.
Nommez un pays ou une province, accolez-y la formulation «plus divisé que jamais» et vous obtiendrez l’un des titres en vogue dans les grands quotidiens québécois. À l’heure où la polarisation inquiète, la classe médiatique attaque-t-elle la mauvaise cible en parlant de clivage gauche-droite?
Près de sept décennies après l’inauguration des centrales Bersimis-1 et Bersimis-2, Hydro-Québec a signé une «entente historique» avec la cheffe de Pessamit, Marielle Vachon. Un exemple concret de réconciliation?