Une clôture en échange d’alpagas, ou la bataille pour sauver Görli
Nicolas Delisle-L’Heureux suit l’évolution d’une mobilisation citoyenne visant à préserver l’accès public à un grand parc au cœur de la ville.
Nicolas Delisle-L’Heureux suit l’évolution d’une mobilisation citoyenne visant à préserver l’accès public à un grand parc au cœur de la ville.
Jonathan Durand Folco fait la connaissance d’un groupe de jeunes trentenaires qui a créé un carrefour d’initiatives solidaires en plein cœur de la ville.
Originaires des quatre coins du monde, des jeunes de Montréal-Nord tentent de décrocher le Graal: un diplôme d’études secondaires. Pas facile quand l’école «régulière» vous a mis à la porte… Pendant toute la session d’automne 2023, Michel Arseneault a suivi Linadora, Léonard, Jemmyson et les autres élèves de l’école Amos.
De part et d’autre de la crise du logement, deux classes se dessinent: celle qui exploite (les propriétaires) et celle qui est exploitée (les locataires). Telle est la prémisse de «La classe locataire», un essai qui sort ces jours-ci chez Québec Amérique. En voici un extrait.
Alors que les prochaines élections municipales se profilent, celui qui a été maire de l’arrondissement Rosemont–La Petite-Patrie, à Montréal, pendant 12 ans plaide pour une plus grande autonomie des Villes face aux crises de notre époque. Il est l’auteur de notre nouveau «Document».
Le ministère de la Culture et des Communications a ajouté un critère à la grille d’évaluation du patrimoine bâti: la valeur sociale. Mais comment mesurer quelque chose d’aussi subjectif que l’attachement aux lieux qui font nos quartiers?
Les photos rétrofuturistes d’Expo 67 émerveillent, mais tout n’était pas que fleurs et farandoles autour de ce qu’on a appelé Terre des hommes. Dans son extrait de «La société de provocation: essai sur l’obscénité des riches», l’autrice nous invite à reconsidérer notre vision idéalisée et fétiche du progrès urbain en revenant sur l’histoire enfouie de l’exposition universelle de Montréal.
Trop souvent, les espaces urbains sont planifiés de manière expéditive, et leur design, trop rigide ou théorique, ne prend pas en compte les habitudes des citoyens. Heureusement, certains concepteurs prennent le temps d’étudier les comportements des usagers pour humaniser et rendre plus habitables les espaces urbains. Ils se tournent pour cela vers ce qu’on appelle les lignes de désir.
Le collectif Solon, né en 2015 au cœur de Montréal, s’est donné la mission d’aider des groupes de quartier à réaliser leur vision.
On ne donnait pas cher de la peau du Cinéma Beaubien au tournant du millénaire. Mais, contre toute attente, cette institution montréalaise a su renaitre de ses cendres. Une franche et improbable réussite qui a le potentiel d’inspirer d’autres villes du Québec.
L’architecte danois Jan Gehl nous presse d’imiter les nombreuses villes européennes qui, depuis une décennie déjà, appliquent les concepts d’écomobilité, d’urbanisme durable et de ville à échelle humaine.