Le transport collectif... de marchandises
Dans plusieurs grandes villes du monde, faire transiter les biens est devenu un cauchemar. Pourquoi ne pas créer un mode de transport en commun des marchandises?
Dans plusieurs grandes villes du monde, faire transiter les biens est devenu un cauchemar. Pourquoi ne pas créer un mode de transport en commun des marchandises?
Ou comment des étudiants montréalais ont pris d’assaut leur école pour contrer le conservatisme ambiant et tenter de refaire le monde.
Le 26 avril 1986, le réacteur numéro 4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl explosait, rendant un immense territoire inhabitable pour 20 000 ans. Denis Côté est allé y faire un tour en minibus.
D’un côté, les politiques gouvernementales incitent les éleveurs de porcs à intensifier leur production. De l’autre, les ministères de l’Environnement provincial et fédéral déplorent la pollution induite par cette surproduction porcine. Portrait d’une situation paradoxale.
On reproche aux utilisateurs du mot épique de l’employer dans des contextes qui n’ont vraiment rien de grandiose. Cette critique est-elle fondée?
Grâce à lui, des artistes éclosent bruyamment et des esthétiques se réinventent puissamment. Le Théâtre La Chapelle, jadis marginal et peu considéré, semble être devenu le lieu de tous les possibles au sein d’un milieu théâtral montréalais trop souvent frileux. Que s’est-il donc passé, rue Saint-Dominique?
Le concept de «trou d’cul» fournirait-il une clé pour comprendre le capitalisme contemporain, les menaces à l’égalité démocratique, les aspects les plus machistes de notre culture, ou encore une bonne partie de nos désagréments quotidiens? Analyse d’un essai portant sur une étrange (et irritante) figure de nos sociétés: le trou d’cul.
Jack Kerouac a laissé les traces de ses origines canadiennes-françaises dans son roman Sur la route. Ces fragments d’identité en disent davantage sur le Québec que sur cet homme aux contours évanescents. Le voyage n’offre pas de révélations, mais illumine certains aspects de notre histoire.
Que faire lorsqu’apparait une génération nouvelle qui nous remet en question, et qu’on réalise qu’on ne fait plus partie de «la jeunesse»? On peut se braquer. On peut la condamner. On peut se moquer de ses aspirations. Mais on peut aussi, comme le suggère André Laurendeau dans cet essai, se concentrer sur ce qu’elle peut apporter à la longue marche du progrès social.