À Monsieur Virelotte
Ou la revanche d’une petite fille sur le directeur de son école primaire.
Ou la revanche d’une petite fille sur le directeur de son école primaire.
Cette semaine, Atelier 10 inaugure un tout nouveau projet, Le temps debout. Le directeur d’Atelier 10 nous indique ici les intentions qui ont mené à sa création, et les principes qui guideront son développement.
Couper les enfants des discussions graves ou sérieuses, c’est une forme d’adultisme. Un concept encore méconnu que Sarah Poulin-Chartrand aborde, parmi une quarantaine d’autres, dans Nos enfants auront le dernier mot, premier titre de notre nouvelle collection Le temps debout. En voici un extrait.
Bougons, «B.S.», pouilleux·ses. Qu’importe les surnoms disgracieux dont on les affuble, les hommes et les femmes en situation de pauvreté triment dur pour joindre les deux bouts, mais aussi pour préserver leur dignité. Et c’est encore plus difficile pour leurs enfants.
Journalistes, littéraires, activistes, dramaturges... Leur prise de parole détonne juste assez dans le bruit ambiant pour nourrir les débats et les réflexions. Pleins feux sur ceux et celles qui ont marqué 2022 avec leur texte paru dans Nouveau Projet, ou ailleurs à Atelier 10.
Votre sélection hebdomadaire des textes et de contenus audiovisuels qui ont attiré l’attention de l’équipe de Nouveau Projet.
L’autrice de «La fille d’elle-même» partage ses conseils à l’intention des adultes qui côtoient de jeunes personnes transgenres. Pour mieux les accueillir et leur permettre de grandir dans un environnement aussi serein et sûr que possible.
Votre sélection hebdomadaire des textes et des productions audiovisuelles qui ont attiré l’attention de l’équipe de Nouveau Projet.
Les parents auraient, selon l’autrice de notre «Document 26», tout avantage à s’inspirer de la permaculture pour élever leurs enfants. Une métaphore féconde, portée par une pédopsychiatre inquiète. Dans cet extrait de l’essai «Le drame des enfants parfaits», elle explique ce qui l’a poussée à prendre la plume.
Elle est l’une des figures phares de la forme physique à Sorel-Tracy. Du moins, pour ceux et celles qui y ont fait leurs études primaires dans les années 1990.
On les reconnait à leurs larges T-shirts de couleurs vives, tous identiques, qu’ils et elles portent en bordure des parcs municipaux. Chaque été, des milliers d’adolescent·e·s sont engagé·e·s par les Villes pour amuser les enfants du Québec. Mais qu’est-ce que ces jeunes qui prennent soin de ceux et de celles des autres se gardent bien de communiquer aux parents?