«Il faut surtout obéir»
Dans les équipes de basketball élite, et en milieu scolaire, des entraineurs profitent de l’ambition de leurs jeunes joueuses pour décharger leur colère à grands coups d’engueulades, ou pour assouvir leurs pulsions sexuelles.
Dans les équipes de basketball élite, et en milieu scolaire, des entraineurs profitent de l’ambition de leurs jeunes joueuses pour décharger leur colère à grands coups d’engueulades, ou pour assouvir leurs pulsions sexuelles.
À l’aube d’une nouvelle révolution dans sa vie, Gabriel Nadeau-Dubois revient sur les évènements qui ont secoué le Québec en 2012.
La plus grande menace qui pèse sur les universités n’est pas la remise en question de la liberté académique: c’est plutôt l’étroitesse de ce qu’on y enseigne.
Les prophètes modernes peuvent bien s’époumoner, leur vision du monde ne fait que résonner dans leur chambre d’écho. Et si on cessait de théoriser l’avènement d’un monde meilleur et qu’on essayait tout simplement de l’habiter?
En nous battant sans relâche pour protéger le droit à l’avortement, nous avons omis de veiller sur les femmes qui y ont recours.
Qu’est-ce qui nous pousse à abandonner sans avertissement nos conversations virtuelles—et les êtres bien réels avec qui nous les tenions?
Ils sont trois, ils s’aiment et forment un trouple. Ils tentent de vivre leur vie avec le plus d’ordinaire possible, malgré les embuches qui s’accumulent et les regards qui s’attardent.
En dépit de notre obsession pour le libre arbitre, il est de ces données, comme la détérioration du climat, avec lesquelles il nous faut désormais composer.
Elle est d’origine grecque, elle écrit ses articles en anglais, elle adore lire des romans en français. Mais surtout, Toula Drimonis est Québécoise. Et avec son essai fraichement traduit, intitulé «Nous, les autres», la journaliste montréalaise s’évertue à réconcilier toutes les facettes de son identité culturelle.
Quelle place fait-on à l’éthique de la bienveillance dans nos institutions d’enseignement?
Chaque année, Québec perd des centaines de jeunes professionnel·le·s au profit de Montréal, dont Catherine Genest. La cheffe de pupitre numérique à Nouveau Projet a eu envie de se pencher sur ce déracinement perçu comme une fatalité par plusieurs, mais qui demeure très peu documenté.