«Il faut surtout obéir»
Dans les équipes de basketball élite, et en milieu scolaire, des entraineurs profitent de l’ambition de leurs jeunes joueuses pour décharger leur colère à grands coups d’engueulades, ou pour assouvir leurs pulsions sexuelles.
Dans les équipes de basketball élite, et en milieu scolaire, des entraineurs profitent de l’ambition de leurs jeunes joueuses pour décharger leur colère à grands coups d’engueulades, ou pour assouvir leurs pulsions sexuelles.
Il y aurait maintenant 100 000 Français à Montréal. Comment la ville les transforme-t-elle, sur le plan des valeurs, de la vie sociale, familiale, professionnelle? Parce qu’elle-même s’est vue changer (et parfois de façon radicale), l’auteure du livre-enquête «Sœurs volées» a eu envie de questionner d’autres expatriés à ce sujet.
À l’aube d’une nouvelle révolution dans sa vie, Gabriel Nadeau-Dubois revient sur les évènements qui ont secoué le Québec en 2012.
Qu’est-ce qui nous pousse à abandonner sans avertissement nos conversations virtuelles—et les êtres bien réels avec qui nous les tenions?
Elle est d’origine grecque, elle écrit ses articles en anglais, elle adore lire des romans en français. Mais surtout, Toula Drimonis est Québécoise. Et avec son essai fraichement traduit, intitulé «Nous, les autres», la journaliste montréalaise s’évertue à réconcilier toutes les facettes de son identité culturelle.
L’Estérel a récemment fait les manchettes pour ses tirs louches et ses histoires de vendetta en robe de chambre. Mais la destruction de son dernier bâtiment art déco, en mai dernier, est malheureusement passée sous silence. C’est pourtant une grande perte pour l’architecture moderne et pour la population de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.
Les prophètes modernes peuvent bien s’époumoner, leur vision du monde ne fait que résonner dans leur chambre d’écho. Et si on cessait de théoriser l’avènement d’un monde meilleur et qu’on essayait tout simplement de l’habiter?
En dépit de notre obsession pour le libre arbitre, il est de ces données, comme la détérioration du climat, avec lesquelles il nous faut désormais composer.
En nous battant sans relâche pour protéger le droit à l’avortement, nous avons omis de veiller sur les femmes qui y ont recours.
D’où vient notre plaisir de parler des absents, cette tendance à nous délecter de leurs erreurs, à nous amuser de leurs défauts, à vivre leurs frasques par procuration?
La plus grande menace qui pèse sur les universités n’est pas la remise en question de la liberté académique: c’est plutôt l’étroitesse de ce qu’on y enseigne.