Choisir la vie
Notre incapacité à penser le suicide comme une décision lucide nous empêche-t-elle de nous engager plus profondément dans nos vies?

Notre incapacité à penser le suicide comme une décision lucide nous empêche-t-elle de nous engager plus profondément dans nos vies?

Et si le projet biorégional pouvait nous aider à traverser l’effondrement? Dans cet extrait de l’essai «Faire que!», récemment paru chez Lux Éditeur, l’auteur et philosophe Alain Deneault appelle à un certain retour à la terre.

Rares sont les philosophes qui défendent les vertus du travail. Et nombreux sont ceux qui ont médité une solution de rechange à ce qui apparait parfois comme une aliénation. De la contemplation à la dépense, en passant par l’action, choisissons notre voie.

D’où vient notre plaisir de parler des absents, cette tendance à nous délecter de leurs erreurs, à nous amuser de leurs défauts, à vivre leurs frasques par procuration?

Pour la grande majorité d’entre nous, l’idée d’adopter un système de croyances et de valeurs complet et définitif n’est guère envisageable. Mais comment alors arriver à définir ce qu’est une vie bonne? Comment départager l’essentiel de l’accessoire et mener une vie véritablement satisfaisante? Comment s’engager, donc, malgré l’incertitude qui plane autour de nos choix existentiels?

Les cégeps, créés en 1967, ont été des vecteurs importants de mobilité sociale pour plusieurs générations de Québécois·es. Presque 60 ans plus tard, il faut nous demander ce que nous sommes prêt·e·s à faire pour qu’ils le demeurent.

Et si notre plus grande erreur avait été de tenir la démocratie pour acquise? Dans cet extrait de «Prendre part», notre «Document 18», les professeurs de philosophie David Robichaud et Patrick Turmel nous pressent de la mettre sous clé avant qu’il ne soit trop tard.

Un philosophe nous convie à mettre en application les découvertes de l’estimé psychologue israélo-américain, considéré comme l’un des principaux contributeurs à l’économie dite comportementale.

Votre sélection hebdomadaire des textes qui ont attiré l’attention de l’équipe de Nouveau Projet.

Un quart de siècle après la parution d’Enter the Wu-Tang (36 Chambers), quels enseignements philosophiques peut-on tirer du célèbre groupe de hip-hop?

Dans cette chronique aux allures de bilan, notre rédacteur en chef s’interroge sur notre insatiable besoin de renouveau.