1969: une histoire noire
Des étudiants occupent des locaux d’une université montréalaise pour protester contre le racisme. «Laissez bruler les nègres!», crie la foule à l’extérieur pendant que les flammes ravagent l’édifice...
Des étudiants occupent des locaux d’une université montréalaise pour protester contre le racisme. «Laissez bruler les nègres!», crie la foule à l’extérieur pendant que les flammes ravagent l’édifice...
Trop souvent, les espaces urbains sont planifiés de manière expéditive, et leur design, trop rigide ou théorique, ne prend pas en compte les habitudes des citoyens. Heureusement, certains concepteurs prennent le temps d’étudier les comportements des usagers pour humaniser et rendre plus habitables les espaces urbains. Ils se tournent pour cela vers ce qu’on appelle les lignes de désir.
Le Québec et la Norvège ont tous deux d’importantes ressources hydroélectriques, et tous deux ont choisi de confier une part considérable de leur production d’électricité à une société d’état. Comment se compare la contribution à l’État de ces deux entreprises?
Dans le langage courant, l’expression «être une machine» semble remplacer peu à peu le traditionnel «être une bête». Dans le domaine sportif, par exemple, le coureur est passé de «bête de course» à «machine à avaler les kilomètres». Comment expliquer notre admiration pour ceux et celles qui performent comme des machines?
On la surnomme «Professor Occupy». Depuis les années 1970, Lisa Fithian est une habituée des mouvements de contestation et de désobéissance civile, du Nicaragua à Seattle en passant par la Grèce et le Texas. À l’automne 2011, elle a partagé sa grande expérience avec les manifestants d’Occupy Wall Street à New York et ailleurs. À travers son ONG Organizing for Power, elle offre toujours conseils et formation à différents groupes et mouvements. Elle nous confie ses règles d’or.
Pourquoi éprouvons-nous ce besoin d’échanger des banalités? Devrions-nous essayer de les éviter? Et que penser du bavardage propre aux communications modernes?
Depuis la crise financière de 2008, nombre d’ouvrages ont été publiés pour tenter d’en expliquer les impacts sur l’ensemble du capitalisme mondial. Du lot, trois annoncent la fin du capitalisme tel qu’on l’a connu, voire son anéantissement complet.
«La première fois que j’ai vu New York, j’avais 20 ans, et c’était l’été»... Joan Didion a 33 ans, en 1967, quand elle écrit ce texte dans lequel elle dit adieu à New York et à sa jeunesse, mais aussi au rêve américain lui-même, choisissant plutôt «le cramponnement désespéré aux fragments» qu’est la maturité.