«Il faut surtout obéir»
Dans les équipes de basketball élite, et en milieu scolaire, des entraineurs profitent de l’ambition de leurs jeunes joueuses pour décharger leur colère à grands coups d’engueulades, ou pour assouvir leurs pulsions sexuelles.
Dans les équipes de basketball élite, et en milieu scolaire, des entraineurs profitent de l’ambition de leurs jeunes joueuses pour décharger leur colère à grands coups d’engueulades, ou pour assouvir leurs pulsions sexuelles.
Parachutée au Missouri à cause du travail de son conjoint, le joueur de football Laurent Duvernay-Tardif, l’historienne de l’art Florence-Agathe Dubé-Moreau raconte le choc culturel qu’elle a vécu dans le Midwest. Un extrait de son essai «Hors jeu», livre qui examine la place des femmes dans le sport et qui parait ces jours-ci aux Éditions du remue-ménage.
Comment la plateforme est-elle devenue le summum de la libération féminine?
Entrées dans la littérature notamment grâce à Caroline Dawson et Florence Aubenas, les femmes de ménage demeurent, à cause de la nature de leur métier qui commande la discrétion, quasi absentes de l’espace public, voire invisibilisées. Trois d’entre elles ont accepté de nous parler de cet emploi qui vient avec son lot de préjugés.
En nous battant sans relâche pour protéger le droit à l’avortement, nous avons omis de veiller sur les femmes qui y ont recours.
Parler de sujets tabous de manière décomplexée, c’est la mission que s’est donnée la jeune créatrice de contenu.
En remettant en question les inconscients de la culture patriarcale, l’auteure exhortait les femmes à s’émanciper de la «langue de l’occupant».
La jeune femme est tiraillée entre ce que lui dicte son instinct et ce que prescrivent les normes sociales. Dans le doute, elle appréhende la vie à la façon des petites annonces.
Les infections urinaires, c’est gênant d’en parler. Prise dans les dédales du système de santé québécois, notre collaboratrice rompt le silence pour raconter son chemin (de croix) vers la guérison.
Des voix s’élèvent pour dénoncer le sexisme que subissent les femmes dans de nombreux domaines: politique, musique, gastronomie. Le milieu littéraire québécois échapperait-il miraculeusement à cette iniquité rampante?
Les trois saisons de la série contemporaine «The Bear» sont sorties entre 2022 et aujourd’hui, mais les intrigues amoureuses portées par les personnages principaux auraient très bien pu cadrer dans l’univers de «Mad Men». Les relations hétérosexuelles ont-elles seulement évolué depuis les années 1960?