À mon père qui a «une vraie job»
Ou la culpabilité d’un fils (de préposé aux bénéficiaires) qui paie son loyer, et beaucoup de livraisons de burgers, en écrivant des blagues.
Ou la culpabilité d’un fils (de préposé aux bénéficiaires) qui paie son loyer, et beaucoup de livraisons de burgers, en écrivant des blagues.
Dans «Ports d’attache», essai paru chez Québec Amérique, Karine Côté-Andreetti s’intéresse (notamment) à ces célibataires qui décident de fonder une famille d’un genre nouveau. À en croire ces adelphes de cœur, l’amour et la tendresse platonique sont un terreau fertile pour élever un enfant.
La douleur est vive lorsqu’un drame intime se conjugue à un drame collectif. Murphy Cooper, affecté par la mort de son père en plein confinement, s’interroge sur la vie après le deuil pandémique.
Cette semaine, Atelier 10 inaugure un tout nouveau projet, Le temps debout. Le directeur d’Atelier 10 nous indique ici les intentions qui ont mené à sa création, et les principes qui guideront son développement.
La naissance d’un enfant, ce n’est pas toujours que bonheur et béatitude. Parce qu’elle a parcouru un long chemin avant de pouvoir en parler, parce que ces sentiments de tristesse, de honte et de culpabilité sont plus répandus qu’on le croit, Sara Houle a voulu s’attaquer à un tabou: la dépression périnatale.
Des communautés fouriéristes, anarchistes et socialistes du 19e siècle aux villes écolos-intelligentes d’aujourd’hui, survol d’une douzaine de ces endroits où l’on a osé croire à une vie meilleure.
Votre sélection hebdomadaire des textes et des contenus audiovisuels qui ont attiré l’attention de l’équipe de Nouveau Projet.
Bougons, «B.S.», pouilleux·ses. Qu’importe les surnoms disgracieux dont on les affuble, les hommes et les femmes en situation de pauvreté triment dur pour joindre les deux bouts, mais aussi pour préserver leur dignité. Et c’est encore plus difficile pour leurs enfants.
Cet été, je me suis mariée. Ce faisant, je suis entrée à pieds joints dans une institution bourgeoise, mais qui a le mérite de créer du sens dans un monde qui n’en fait pas toujours.
En s’appropriant l’un des plus douloureux chapitres de son histoire familiale, la femme de théâtre se donne aussi le droit de se mettre en scène. C’est au «je» que s’est écrit le 34e titre de notre collection «Pièces», un choix qui s’est imposé de lui-même. Elle nous explique pourquoi.
Le Forum de l’organisation de croissance personnelle Landmark promet des «transformations positives et permanentes» dans notre vie, «et ce, en seulement trois jours». À la fin des années 1990, la mère d’Annie St-Pierre a été séduite par ces promesses.