Maman écrit pas de roman, a travaille trop
Alors que le travail est devenu le symbole de la libération féminine, quelle possibilité existe-t-il de s’en éloigner pour se réaliser autrement?
Alors que le travail est devenu le symbole de la libération féminine, quelle possibilité existe-t-il de s’en éloigner pour se réaliser autrement?
Quand le confinement allonge les heures et que la dépression nous guette, assumer de passer ses journées au lit est une posture tant de résistance que de création.
La jeune femme est tiraillée entre ce que lui dicte son instinct et ce que prescrivent les normes sociales. Dans le doute, elle appréhende la vie à la façon des petites annonces.
Les GIF, ces images qui se répètent ad nauseam, n’ont pas la cote auprès de la jeune génération. Soit. Quelle leçon peut-on en tirer?
En regardant au-delà des étiquettes, et en embrassant la diversité sexuelle et de genre, peut-être pourrions-nous découvrir toute la poésie qui nous anime?
Peut-on pleinement s’accomplir comme femme sans faire l’expérience de la maternité, de l’accouchement et de l’allaitement? On assiste ces années-ci à la libération de la parole des nullipares volontaires, celles qui ne se laissent pas contaminer par la peur de passer à côté de quelque chose.
Certes, la dernière génération de robots conversationnels affiche d’étonnantes compétences pour produire du texte. Mais écrire, c’est autre chose.