L’abonné de la Berlinale Denis Côté propose son 14e film en 17 ans. Cette fois, il prend un risque en signant une incursion délicieusement trouble dans l’intimité de trois femmes souffrant de dépendance sexuelle.
Avez-vous déjà remarqué que le vert et le violet sont souvent réservés aux personnages de méchant·e·s? Nous aussi. On a cherché à savoir pourquoi.
Une série suédoise, un thriller québécois, une pièce inspirée d’un bestseller français. Voici ce que l’équipe de Nouveau Projet recommande ce mois-ci.
Une tragicomédie queer, un thriller politique primé, une satire féministe ultra attendue… Nos suggestions mensuelles tirent allègrement dans tous les sens.
Avec son deuxième long métrage, Monia Chokri propose de satiriser le climat post #MoiAussi et les dérives du wokisme. Pas celui que Mathieu Bock-Côté voit dans ses Froot Loops chaque matin, mais plutôt celui que l’on s’inflige par excès de bien-pensance, ou par crainte de représailles.
De la danse contemporaine de qualité supérieure dans Charlevoix, une Fête nationale sur fond d’afrobeat à Gaspé et un festival de street art d’envergure internationale à Montréal. C’est la Belle Province tout entière qui vibre en ce début d’été.
Du théâtre de création, des documentaires biographiques troublants, un long-métrage hallucinogène. Voici ce que l’équipe de Nouveau Projet a vu et adoré ce mois-ci.
Même si Inès traite avant tout de santé mentale, ce dernier film de Renée Beaulieu témoigne d’une volonté de mettre de l’avant des femmes fortes à la sexualité décomplexée. Le résultat subjugue, au risque d’aliéner une bonne partie du public.
Un recueil de poésie signé de la plume d’une survivante à un féminicide, un aquarium où des humains nageront au beau milieu du centre-ville de Montréal et un concert à la maison pour Kaytranada.
De Sainte-Foy à Damas, les suggestions de l’équipe de Nouveau Projet font voyager par procuration. Voici les séries, documentaires, expositions et spectacles à ne pas rater ce mois-ci.
Vingt ans après la parution du récit qui a lancé sa carrière littéraire, Dave Eggers a-t-il remporté son combat contre l’ironie postmoderne?
