De l’optimisme et du désespoir
Jamais permanents, les progrès seront toujours menacés. Mais il nous appartient de les réaffirmer et de les réimaginer.
Jamais permanents, les progrès seront toujours menacés. Mais il nous appartient de les réaffirmer et de les réimaginer.
Trop souvent, les objectifs au travail semblent s’opposer: l’entreprise pense productivité et rendement, et l’employé cherche l’engagement et la réalisation de soi. De nombreux modèles alternatifs— jeunes et moins jeunes—existent pourtant, qui réinventent le travail à leur façon.
Rares sont les philosophes qui défendent les vertus du travail. Et nombreux sont ceux qui ont médité une solution de rechange à ce qui apparait parfois comme une aliénation. De la contemplation à la dépense, en passant par l’action, choisissons notre voie.
De plus en plus de travailleurs autonomes et de petites entreprises choisissent de partager des espaces de travail. Portrait(s) de cette nouvelle conception de la vie de bureau.
Loin d’avoir été affaibli par l’effondrement de la finance mondiale, en 2008, le néolibéralisme en est ressorti plus fort que jamais—avec les conséquences désastreuses que l’on connait pour le Québec. Comment se fait-il que le mouvement syndical ait été incapable de tirer profit de cette conjoncture historique?
Pionniers plus que millénaires de l’entrepreneuriat social, de la recherche de l’équilibre entre la vie personnelle et professionnelle, des liens intergénérationnels et même de la méditation pleine conscience, les moines ont beaucoup à nous apprendre pour que nous puissions adoucir nos malaises actuels.
Tout comme l’automobile a forgé le 20e siècle, le téléphone intelligent redéfinit aujourd’hui la manière dont nous vivons et travaillons.
Phénomène nouveau aux États-Unis: les «workampers», une armée de travailleurs vivant dans des véhicules motorisés et suivant le travail là où il se trouve. Parmi eux, une proportion élevée de personnes âgées.
À propos de ce qu’on peut faire, quand le travail provoque en nous une rage inouïe qui devient partie prenante de notre vie, et que la solitude nous isole, que la résignation nous guette.
Depuis 2008, les Islandais se sont mobilisés pour définir collectivement leur loi fondamentale. Le Québec pourrait-il s’en inspirer afin de sortir de son impasse constitutionnelle?