Ce qu'on a vu—juin 2022
Une tragicomédie queer, un thriller politique primé, une satire féministe ultra attendue… Nos suggestions mensuelles tirent allègrement dans tous les sens.
Une tragicomédie queer, un thriller politique primé, une satire féministe ultra attendue… Nos suggestions mensuelles tirent allègrement dans tous les sens.
À force d’aménager les aspects matériels et logistiques de notre vie, il devient souvent difficile de s’offrir des pauses du réel. Il y aurait pourtant là une solution salvatrice (et autrement efficace) pour échapper à l’austérité du quotidien.
De part et d’autre de la clôture qui sépare Ville Mont-Royal du quartier de Parc-Extension se déploient les deux extrêmes de la vie montréalaise.
Chaque numéro, Nouveau Projet vous permet de plonger dans l’univers littéraire de gens qu’on aime. Cette fois, les lectures de la comédienne Anne-Marie Cadieux, qu’on retrouvera dans Molly Bloom à l’Espace go en mai prochain.
Son travail évoque les kits de Playmobil ou de blocs Lego d’une autre époque. L’enfance, en somme, et comme passée à travers un filtre «mid-century». Après tout, les artistes ne sont-ils ou ne sont-elles pas des adultes qui continuent à jouer?
Maude et Philippe, un couple de trentenaires montréalais, se sont liés d’amitié avec un militant des droits de la personne, à Alep: Feras Darwish. Avec l’aide de quelques amis, ils se sont mobilisés pour que celui-ci puisse trouver refuge au Canada, avec sa femme et ses trois enfants. Mais le parrainage privé, encouragé par le gouvernement, est un vrai parcours du combattant. Nouveau Projet a suivi le dossier pendant près de six mois.
Après des décennies d’indifférence, les questions de l’habitat et de l’urbanisme dans le Nunavik suscitent l’intérêt d’une nouvelle génération d’architectes. Dans ces lieux où presque tout reste à inventer, les défis techniques ne manquent pas. Les bases d’une relation de confiance, par contre, font crument défaut.
D’est en ouest, du nord au sud, sept correspondant·e·s nous racontent notre territoire.
Alors qu’il dirige sa dernière saison après 13 années passées à la tête de l’Orchestre symphonique de Montréal, le maestro nous présente quelques-uns des principes qui guident ses actions.
À quel point peut-on mettre un peu de soi dans la marche d’un monde insensible à nos tragédies?
«J’aime Hydro», depuis sa parution chez Atelier 10, a été vendu à plus de 20 000 exemplaires. Qu’est-ce qui explique le succès retentissant de cette pièce documentaire?