L’euphorie dans ma bouche
Dans sa langue prise entre Shediac, Moncton et Montréal, ce·tte poète originaire du Nouveau-Brunswick revendique le droit de diverger du français des autres pour créer des œuvres qui lui ressemblent.
Dans sa langue prise entre Shediac, Moncton et Montréal, ce·tte poète originaire du Nouveau-Brunswick revendique le droit de diverger du français des autres pour créer des œuvres qui lui ressemblent.
Les photos rétrofuturistes d’Expo 67 émerveillent, mais tout n’était pas que fleurs et farandoles autour de ce qu’on a appelé Terre des hommes. Dans son extrait de «La société de provocation: essai sur l’obscénité des riches», l’autrice nous invite à reconsidérer notre vision idéalisée et fétiche du progrès urbain en revenant sur l’histoire enfouie de l’exposition universelle de Montréal.
Même bardées de diplômes et fortes de longues années d’expériences dans leur domaine, trop de femmes tremblent encore à l’idée de prendre leur parole en public ou de négocier leur salaire.
La tension charnelle est palpable entre Lydia Képinski et Vincent Roberge (Les Louanges) sur leur premier morceau enregistré en duo. La chanson québécoise de l’été?
Nombreuses sont les personnes «privilégiées» qui dénoncent des injustices dont elles ont parfois—directement ou indirectement—profité. Comment peuvent-elles s’y prendre sans pour autant effacer la voix des opprimé·e·s? C’est ce qu’on a tenté de savoir.
Le directeur artistique du Théâtre du Trident étrenne sa nouvelle pièce à Montréal. Olivier Arteau présente une autofiction queer, ingénieuse et palpitante pour huit interprètes.
L’auteur-compositeur-interprète Thierry Larose s’inscrit dans une tradition qui le dépasse, en marchant dans les pas de Desjardins, de Lelièvre, mais surtout de Rivard.
Atelier 10 et Nouveau Projet inaugurent leur deuxième décennie avec un tout nouveau site web et de grandes ambitions.
Sept ans après sa sortie remarquée en librairie, Le plongeur de Stéphane Larue est adapté au grand écran. D’une matière éminemment cinématographique, le réalisateur Francis Leclerc apprête un trois services compétent, bien que sans grande surprise, à la mise en scène capiteuse et robuste.
C’est l’histoire d’un homme qui aimait Serge Reggiani et Supertramp, qui était médecin en soins palliatifs, et qui a finalement opté pour l’aide médicale à mourir. Dans le premier chapitre de «Mettre la mort à l’agenda», l’auteur de notre Document 23 se remémore les derniers instants passés avec son père.
La crise est vaste, et la transition qui s’impose l’est tout autant. Voici des initiatives servant à éclairer le chemin.