Apprendre à vivre sans hiver
Alors que les changements climatiques apportent des saisons froides qui le sont de moins en moins, faut-il abdiquer et s’inventer des hivers intérieurs?
Alors que les changements climatiques apportent des saisons froides qui le sont de moins en moins, faut-il abdiquer et s’inventer des hivers intérieurs?
Résolution pour la nouvelle année: sortir des sentiers battus, découvrir des auteur·trice·s qu’on ne voit pas dans les palmarès des meilleures ventes ou à «Tout le monde en parle». Parce que la littérature fleurit au-delà des vedettes.
Ils et elles sont passé·e·s maitres dans l’art d’arborer leur plus beau sourire en restant de longues heures debout, sans fléchir. Quatre de ces employé·e·s du commerce au détail se confient à nous.
Quels mots utiliser pour décrire le travail de Virginie Fortin? Dans cet extrait de «Mes sentiments», le 2e titre de notre collection «Humour», la principale intéressée se prête à un étonnant exercice d’introspection.
On peut être mère et tenir les nullipares en estime, et vice versa. En phase avec le commentaire de «Nouveau Projet 29», articulé autour de la production littéraire des femmes sans enfants, cette conversation entre Laurence Côté-Fournier (mère de trois enfants) et notre cheffe de pupitre numérique (mère de personne) vise à rapprocher ces deux solitudes.
À l’affiche jusqu’au 1er septembre 2025, l’exposition «Ça chauffe! Cool it» prouve qu’il est possible de conscientiser le public aux changements climatiques sans miser sur l’écoanxiété.
Les tiktokeur·euse·s qui visitent des endroits abandonnés ont pour coutume de taire les adresses, mais voici quatre lieux de culte montréalais que nous croyons avoir été capables d’identifier.
De part et d’autre de la crise du logement, deux classes se dessinent: celle qui exploite (les propriétaires) et celle qui est exploitée (les locataires). Telle est la prémisse de «La classe locataire», un essai qui sort ces jours-ci chez Québec Amérique. En voici un extrait.
À Rouyn-Noranda, des voix s’élèvent encore, plus éraillées que jamais, contre la Fonderie Horne et ses émissions d’arsenic dans l’air. Voici un extrait d’un texte qui trouve sa place dans «Zones sacrifiées», le plus récent Brûlot des Éditions du Quartz.
Basia Bulat crée une musique à son image: tendre, mais jamais plate. L’autrice-compositrice-interprète francophile, et Montréalaise d’adoption, est toujours aussi inspirée qu’à ses débuts au tournant du millénaire.