Quatre raisons de développer la ville sans construire
Et si la solution à la crise du logement passait par la reconversion d’immeubles vacants?
Et si la solution à la crise du logement passait par la reconversion d’immeubles vacants?
Votre sélection hebdomadaire des textes qui ont attiré l’attention de l’équipe de Nouveau Projet.
Hausse des loyers, flambée des prix de vente des propriétés, embourgeoisement: si elle n’est pas un phénomène nouveau, la spéculation immobilière et ses multiples conséquences figurent parmi les grands enjeux du 21e siècle. Des administrations municipales aux gouvernements nationaux, en passant par les groupes de citoyens, tous ont un rôle à jouer dans la création d’une ville plus abordable.
De part et d’autre de la crise du logement, deux classes se dessinent: celle qui exploite (les propriétaires) et celle qui est exploitée (les locataires). Telle est la prémisse de «La classe locataire», un essai qui sort ces jours-ci chez Québec Amérique. En voici un extrait.
Presque partout au Québec, le cout des loyers connait une hausse fulgurante et le marché immobilier s’emballe. Sous la plume de trois auteur·trice·s, on prend le pouls d’une banlieue de la couronne nord de Montréal, d’un village des Laurentides et d’une ville de Mauricie.
Près de cinq ans après l’effondrement mortel de deux immeubles, Adèle Surprenant fait le point avec des militantes qui se donnent les moyens d’espérer.
Dans le quartier Saint-Sauveur à Québec, le projet de coopérative d’habitation Dorimène se positionne à l’avant-garde en matière de logement.
Le mouvement coopératif est inscrit dans l’ADN québécois: près de 600 00 personnes font chaque année le choix de l’habitat communautaire. Mais la vie en collectivité ne convient pas à tout le monde.
Votre sélection hebdomadaire des textes, productions audiovisuelles et autres contenus qui ont attiré l’attention de l’équipe de Nouveau Projet, cette semaine.
Brève histoire de la communauté Milton-Parc, à Montréal, qui s’est mobilisée pour sauver bâtisses victoriennes et idéal démocratique des bulldozers d’un promoteur.
La propriété privée est une lorgnette étroite par laquelle nous abordons le rapport à la terre. D’autres manières de considérer l’espace sont pourtant possibles.