Dans le Bas-Saint-Laurent, le futur est bleu
Novarium et son fondateur Martin Beaulieu cultivent l’économie maritime québécoise, une startup à la fois.

Novarium et son fondateur Martin Beaulieu cultivent l’économie maritime québécoise, une startup à la fois.

C’est un Nouveau Projet revu et corrigé qui arrive cette semaine en kiosque et dans la boite aux lettres de nos abonné·e·s. À l’occasion de son dixième anniversaire, le magazine adopte une formule repensée, portée par un vent de fraicheur et une envie de renouveau.

Il a porté les couleurs du Canada sur les pistes d’athlétisme du monde entier, fracassant au passage quelques records nationaux—dont un, au 60 mètres, qu’il détient encore à ce jour. Bruny Surin est, sans conteste, l’un des athlètes les plus marquants de notre histoire sportive. Il nous fait part des valeurs qui le guident dans son travail et sa vie.

Avant que les changements climatiques deviennent l’ennemi public numéro un, les combats environnementaux ne faisaient pas courir les foules.

Certes, la dernière génération de robots conversationnels affiche d’étonnantes compétences pour produire du texte. Mais écrire, c’est autre chose.

Le réalisateur de Curling et Répertoire des villes disparues revient de loin, et c’est précisément ce qu’il raconte dans son essai à paraitre dans «Nouveau Projet 28.» En voici un avant-gout.

Et si les agriculteurs reprenaient leur rôle d’expérimentateurs? Et s’ils devenaient des acteurs clés dans la révolution verte tant attendue? Des initiatives africaines et européennes prouvent que c’est possible.

Jack Kerouac a laissé les traces de ses origines canadiennes-françaises dans son roman Sur la route. Ces fragments d’identité en disent davantage sur le Québec que sur cet homme aux contours évanescents. Le voyage n’offre pas de révélations, mais illumine certains aspects de notre histoire.

D’Abla Farhoud à Zadie Smith: voici ce que la grande famille de «Nouveau Projet» a lu cette année.

À quoi pourrait ressembler, en 2050, un Québec carboneutre qui aurait réussi à s’adapter aux changements climatiques?

L’Estérel a récemment fait les manchettes pour ses tirs louches et ses histoires de vendetta en robe de chambre. Mais la destruction de son dernier bâtiment art déco, en mai dernier, est malheureusement passée sous silence. C’est pourtant une grande perte pour l’architecture moderne et pour la population de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson.