Ce qu’on a gouté—mars 2023
Une taverne sportive sans prétention, un restaurant de brunch bon marché, une gâterie typiquement québécoise disponible en épicerie. Nos suggestions gourmandes du moment ne vous ruineront pas.
Une taverne sportive sans prétention, un restaurant de brunch bon marché, une gâterie typiquement québécoise disponible en épicerie. Nos suggestions gourmandes du moment ne vous ruineront pas.
La laine, qui a joué un rôle crucial dans le développement de la civilisation humaine, serait-elle en train de disparaitre de notre vie?
Adèle Surprenant rencontre des militant·e·s pour les droits des travailleuses du sexe trans en plein cœur d’une Turquie conservatrice et de plus en plus autoritaire.
Un roman de Marc Séguin, une pièce d’Émilie Monnet, une chorégraphie de Virginie Brunelle, une exposition de Paryse Martin et un album de Daniel Bélanger. Nombre de nos artistes québécois·es préféré·e·s ont de nouvelles œuvres à nous proposer ce mois-ci.
Comment se mettre au monde comme artiste? C’est l’une des questions que soulève Benoit Jodoin avec son premier livre, essai qu'il a mis longtemps à commencer, tournant autour de la littérature sans pour autant s’autoriser la création. Pourtant, cet ouvrage est une franche réussite.
Dans les années 1960, l’échangeur Turcot était un symbole du progrès montréalais. Un demi-siècle plus tard, alors que tant de choses ont changé, sommes-nous sur le point de répéter les mêmes erreurs en nous accrochant à une vision dépassée du progrès?
Il est le père de Paul, l’un des personnages de fiction les plus aimés de la littérature québécoise. Créé il y a plus de deux décennies, l’alter ego de Michel Rabagliati occupe une place toute spéciale dans les bibliothèques des Québécois·es. Il partage les valeurs qui le guident dans son travail et sa vie.
Le réalisateur de Curling et Répertoire des villes disparues revient de loin, et c’est précisément ce qu’il raconte dans son essai à paraitre dans «Nouveau Projet 28.» En voici un avant-gout.
Montréal s’est énormément transformé, entre les années 1950 et aujourd’hui. Mais les changements auraient pu être encore plus substantiels, si ses décideurs avaient pu aller au bout de leurs (gigantesques) ambitions.
L’Est de Montréal tente de changer de visage en misant sur les technologies vertes. Mais pour concrétiser ses rêves d’avenir, il doit d’abord se débarrasser des cicatrices du passé.
Philippe Cyr, «l’un des directeurs artistiques qui font bouger les choses au théâtre», fait équipe avec Christine Beaulieu et Marc Beaupré dans «Insoutenables longues étreintes», un spectacle qui reprend l’affiche ce mois-ci au Théâtre Prospero.