Une question de respect
On lui doit «Les Bobos», «Le coeur a ses raisons» et «Like-moi». Marc Brunet, scénariste d'exception, nous partage l'un de ses sketchs.
On lui doit «Les Bobos», «Le coeur a ses raisons» et «Like-moi». Marc Brunet, scénariste d'exception, nous partage l'un de ses sketchs.
Cinquante ans avant les manifestations des chauffeurs de taxi contre la multinationale Uber, les conducteurs montréalais ont fait une fracassante entrée dans l’arène publique. Retour sur un spectaculaire épisode de grève, en 1969.
Ou l’illusion du transport électrique dans une société (de plus en plus) éprise de gros véhicules.
Données ouvertes, hackathons, implantation de la maison Notman: la ville de Montréal a déjà bien amorcé son virage «intelligent». Québec, quant à elle, mise sur les nouvelles entreprises créatives et sur l’amélioration de ses services aux citoyens. Et elles ne sont pas les seules. Les initiatives pleuvent, de New York à Songdo. Portrait de la ville intelligente idéale.
Au siècle dernier, la ville nord-américaine s’est retrouvée dans un cul-de-sac économique en se développant autour de l’automobile. On peut maintenant affirmer, exemples à l’appui, qu’il est écologiquement sensé et financièrement raisonnable de concevoir des quartiers qui placent les résidents—et non leur véhicule—au cœur de tout.
Dans plusieurs grandes villes du monde, faire transiter les biens est devenu un cauchemar. Pourquoi ne pas créer un mode de transport en commun des marchandises?
La ville futuriste des publicités de l’après-guerre ne semble plus si éloignée: se déplacer dans les airs grâce au transport urbain par câble est devenu une réalité pour plusieurs dizaines de villes à travers le monde.
Trop souvent, les espaces urbains sont planifiés de manière expéditive, et leur design, trop rigide ou théorique, ne prend pas en compte les habitudes des citoyens. Heureusement, certains concepteurs prennent le temps d’étudier les comportements des usagers pour humaniser et rendre plus habitables les espaces urbains. Ils se tournent pour cela vers ce qu’on appelle les lignes de désir.