Trois idées
Un résumé de trois idées fortes tirées de publications récentes.


La rentrée scolaire nous pend au bout du nez et, avec elle, le retour de la routine effrénée qui rythme la vie de bon nombre de parents. Véronique Grenier témoigne des fatigues ordinaires qui nous affligent dans «À boutte,» le 22e titre de notre collection «Documents».

Comédie dépressive articulée autour d’une fratrie endeuillée, Niagara marque une évolution après l’inabouti Les scènes fortuites (2018), que Guillaume Lambert avait également scénarisé et mis en scène.

Art public, parcs, poterie... Voici quelques idées d’activités pour découvrir Montréal.

Au siècle dernier, la ville nord-américaine s’est retrouvée dans un cul-de-sac économique en se développant autour de l’automobile. On peut maintenant affirmer, exemples à l’appui, qu’il est écologiquement sensé et financièrement raisonnable de concevoir des quartiers qui placent les résidents—et non leur véhicule—au cœur de tout.

La 12e édition du Festival de cinéma de la ville de Québec (FCVQ) aura lieu du 13 au 17 septembre 2023. En plus de proposer leur programmation la plus ambitieuse depuis le début de la pandémie, les organisateur·trice·s s’engagent à participer, de manière oblique, par le biais du cinéma, aux conversations de notre époque.

Son travail évoque les kits de Playmobil ou de blocs Lego d’une autre époque. L’enfance, en somme, et comme passée à travers un filtre «mid-century». Après tout, les artistes ne sont-ils ou ne sont-elles pas des adultes qui continuent à jouer?

Comment croire à nos amours, et aux histoires que nous nous racontons à leur sujet?

Elle est d’origine grecque, elle écrit ses articles en anglais, elle adore lire des romans en français. Mais surtout, Toula Drimonis est Québécoise. Et avec son essai fraichement traduit, intitulé «Nous, les autres», la journaliste montréalaise s’évertue à réconcilier toutes les facettes de son identité culturelle.

Six ans après la publication de son premier livre («Créatures du hasard») au Cheval d’août, l’autrice québéco-uruguayenne Lula Carballo replonge dans les limbes de la ludopathie, du jeu compulsif. Elle signe le roman «Maquina», qui sort ces jours-ci chez Leméac.

L’obsession de notre époque pour une fin du monde imminente, ou à tout le moins inévitable, semble sonner le glas des espérances dans le progrès. Sommes-nous trop occupés à évaluer les risques des crises écologiques, climatiques ou nucléaires pour nous demander ce que serait un monde digne d’être vécu?