Filles d’aujourd’hui
Avec la série «Girls», Lena Dunham fouille le rapport des femmes à leur corps, ainsi que les joies et misères de l’exploration sexuelle dans la vingtaine. Portrait d’une série télé irrévérencieuse—et fort libératrice.
Avec la série «Girls», Lena Dunham fouille le rapport des femmes à leur corps, ainsi que les joies et misères de l’exploration sexuelle dans la vingtaine. Portrait d’une série télé irrévérencieuse—et fort libératrice.
En remettant en question les inconscients de la culture patriarcale, l’auteure exhortait les femmes à s’émanciper de la «langue de l’occupant».
À quoi bon continuer à écrire des romans, quand de toute évidence ils n’ont plus l’importance culturelle qui a déjà été la leur?
Avec ce premier long métrage, la cinéaste et comédienne Charlotte Le Bon signe une variation joliment lynchéenne sur les affres du passage de l’enfance à l’adolescence, un thème que le cinéma québécois s’acharne à explorer depuis une dizaine d’années.
Ou comment les travailleuses montréalaises du textile, en luttant pour de meilleures conditions de travail, ont aussi combattu les dérives réactionnaires des années 1930.
Le parcours de ce globetrotteur, jusqu’à tout récemment cochef du Parti vert du Canada, est digne d’un roman d’aventure. Portrait d’un rêveur pragmatique qui refuse d’assister en spectateur aux dérives du monde.
En janvier, on est nombreux·euses à se lancer dans des régimes amaigrissants, en regrettant la buche et la tourtière du temps des fêtes. C’est dans ce contexte qu’Alex Viens («Les pénitences») nous invite à mettre la culture des diètes aux vidanges une bonne fois pour toutes.
Qu’est-ce qu’il faudrait éviter de dire à une personne atteinte d’un cancer? Cet extrait du guide «Cancer: mode d’emploi» cible les phrases qui peuvent blesser ou taper sur les nerfs des gens qui doivent déjà composer avec la douleur et la peur.
Desserts légers, légumes du jardin, essence de sapinage… Notre sélection culinaire se fait fraiche et locale en ce début de saison estivale.
Symboles de la surconsommation, de l’accès généralisé à l’automobile et du développement de la banlieue, les centres commerciaux sont depuis longtemps fortement critiqués du point de vue urbanistique. Est-il possible de les réactualiser afin qu’ils contribuent à l’amélioration des milieux de vie?
À quel point peut-on mettre un peu de soi dans la marche d’un monde insensible à nos tragédies?