L’étude des sciences naturelles : son développement chez les Canadiens français
L’auteur de la Flore laurentienne invite ses compatriotes à se pourvoir d’une culture scientifique forte, indispensable à la construction de la nation.
L’auteur de la Flore laurentienne invite ses compatriotes à se pourvoir d’une culture scientifique forte, indispensable à la construction de la nation.
Dans cette première traduction en français de son célèbre essai «How It Feels To Be Colored Me», l’écrivaine africaine-américaine évoque avec panache le moment décisif où elle est devenue une femme de couleur.
«La première fois que j’ai vu New York, j’avais 20 ans, et c’était l’été»... Joan Didion a 33 ans, en 1967, quand elle écrit ce texte dans lequel elle dit adieu à New York et à sa jeunesse, mais aussi au rêve américain lui-même, choisissant plutôt «le cramponnement désespéré aux fragments» qu’est la maturité.
En remettant en question les inconscients de la culture patriarcale, l’auteure exhortait les femmes à s’émanciper de la «langue de l’occupant».
Plus de 100 ans après leur publication, les Lettres à un jeune poète offrent aux tourments de notre siècle un contrepoint lumineux et étonnamment moderne.
En parallèle de sa carrière d’écrivaine, la grande Gabrielle Roy a aussi exercé le métier de journaliste indépendante. Dans ce reportage littéraire publié au début des années 1940, elle nous présente Montréal d’est en ouest, en remontant trois grandes artères de la ville: les rues Notre-Dame, Sainte-Catherine et Sherbrooke.
La révolutionnaire marxiste dénonce l’hypocrisie de la bourgeoisie devant la misère qui guette la classe ouvrière.
Que faire lorsqu’apparait une génération nouvelle qui nous remet en question, et qu’on réalise qu’on ne fait plus partie de «la jeunesse»? On peut se braquer. On peut la condamner. On peut se moquer de ses aspirations. Mais on peut aussi, comme le suggère André Laurendeau dans cet essai, se concentrer sur ce qu’elle peut apporter à la longue marche du progrès social.
De la brièveté de la vie est un essai écrit en 49 de notre ère, mais son propos reste éminemment pertinent à notre époque hypermoderne.
À quoi bon continuer à écrire des romans, quand de toute évidence ils n’ont plus l’importance culturelle qui a déjà été la leur?