Signets—semaine du 30 janvier 2023
Votre sélection hebdomadaire des textes et des contenus audiovisuels qui ont attiré l’attention de l’équipe de Nouveau Projet.
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Immigrer au Québec vient avec un jargon, sorte de langage secret, que les gens nés en France sont souvent les seuls à comprendre, à maitriser. Notre collègue en résume les grandes lignes.
Puisant dans les souvenirs de leur enfance, Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban racontent la première fois où le racisme s’est imposé dans leur vie.
Chaque mois, notre rédacteur en chef commente certaines de ses lectures et d’autres sujets plus ou moins connexes.
Votre sélection hebdomadaire des textes, productions audiovisuelles et autres contenus qui ont attiré l’attention de l’équipe de Nouveau Projet, cette semaine.
Elle est d’origine grecque, elle écrit ses articles en anglais, elle adore lire des romans en français. Mais surtout, Toula Drimonis est Québécoise. Et avec son essai fraichement traduit, intitulé «Nous, les autres», la journaliste montréalaise s’évertue à réconcilier toutes les facettes de son identité culturelle.
Il y aurait maintenant 100 000 Français à Montréal. Comment la ville les transforme-t-elle, sur le plan des valeurs, de la vie sociale, familiale, professionnelle? Parce qu’elle-même s’est vue changer (et parfois de façon radicale), l’auteure du livre-enquête «Sœurs volées» a eu envie de questionner d’autres expatriés à ce sujet.
Ils s’appellent Nadia, Jorge, Wendy. Ils ont fui les violences de leur pays d’origine à la poursuite d’un rêve : offrir à leurs enfants un meilleur avenir. À Montréal, où ils vivent cachés dans la peur constante d’être déportés, ils sont désormais des clandestins, des sans-papiers.
Rouyn-Noranda-Témiscamingue, une circonscription jusqu’ici représentée par une députée de Québec solidaire, vient de passer aux mains de la Coalition avenir Québec. Écrit à chaud, quelques heures après le dépouillement des votes, ce texte de notre correspondant rouynorandien permet de prendre le pouls de la ville du FME, mais aussi de la très polluante fonderie Horne.
Et si Laval était l’endroit parfait pour repenser le stéréotype de la banlieue nord-américaine et le projet social qu’elle était censée incarner?