Le meilleur de la littérature en 2023
D’Abla Farhoud à Zadie Smith: voici ce que la grande famille de «Nouveau Projet» a lu cette année.
D’Abla Farhoud à Zadie Smith: voici ce que la grande famille de «Nouveau Projet» a lu cette année.
D’Alfred Desrochers à Véronique Grenier en passant par Alexie Morin: les Cantons-de-l’Est sont une source d’inspiration pour ceux et celles qui écrivent.
De Sinéad O’Connor en passant par Denise Bombardier et Fred la marmotte: nécrologies variées par l’équipe de «Nouveau Projet».
L’écrivain franco-tchèque, à qui l’on doit notamment «L’insoutenable légèreté de l’être» et «Le livre du rire et de l’oubli», nous a quitté·e·s le 11 juillet à l’âge de 94 ans.
Minimalistes et toutes en rondeurs, les cases du bédéiste Alex Lévesque détonnent dans le panorama du 9e art au Québec. On a mis la main sur son premier album.
L’autrice de «Cœur de slush» et du blogue «Les fourchettes» a-t-elle encore quelque chose de nouveau à dire sur l’amour? Chose certaine, Sarah-Maude Beauchesne se prête à des élans lyriques généreux (sa marque de commerce) dans «Faire la romance», son plus récent livre.
L’adaptation théâtrale du roman autobiographique à succès de Caroline Dawson (Prix littéraire des collégien·ne·s 2022) débarque sur les planches du Théâtre La Bordée, à Québec. L’œuvre livrée réussit à émouvoir, malgré quelques maladresses de mise en scène.
«Whitehorse», la bande dessinée en deux tomes de Samuel Cantin, prend vie sur les planches de Duceppe dans une adaptation théâtrale réunissant Sébastien Tessier, Éric Bernier, Sonia Cordeau et Guillaume Laurin.
Léa Clermont-Dion fait équipe avec Le Cheval d’août pour publier «Porter plainte», un livre où l’intime et le politique s’entremêlent.
Présentée il y a six ans à Premier Acte, un théâtre intime de 80 places à Québec, la pièce «Hypo» de Nicola-Frank Vachon a droit à un deuxième tour de piste grâce au bédéiste Paul Bordeleau.
Beaucoup d’artistes se lancent dans des projets qui ne verront jamais le jour. Il y va des risques du métier, des aléas de la vocation. Sauf que c’est inhabituel, rarissime même, que des œuvres terminées restent scellées sous vide. Pourtant, c’est précisément ce qui est arrivé ce printemps pour un film québécois.