Ce qu’on a lu—octobre 2023
Léa Clermont-Dion fait équipe avec Le Cheval d’août pour publier «Porter plainte», un livre où l’intime et le politique s’entremêlent.
Léa Clermont-Dion fait équipe avec Le Cheval d’août pour publier «Porter plainte», un livre où l’intime et le politique s’entremêlent.
Présentée il y a six ans à Premier Acte, un théâtre intime de 80 places à Québec, la pièce «Hypo» de Nicola-Frank Vachon a droit à un deuxième tour de piste grâce au bédéiste Paul Bordeleau.
Beaucoup d’artistes se lancent dans des projets qui ne verront jamais le jour. Il y va des risques du métier, des aléas de la vocation. Sauf que c’est inhabituel, rarissime même, que des œuvres terminées restent scellées sous vide. Pourtant, c’est précisément ce qui est arrivé ce printemps pour un film québécois.
Il est le père de Paul, l’un des personnages de fiction les plus aimés de la littérature québécoise. Créé il y a plus de deux décennies, l’alter ego de Michel Rabagliati occupe une place toute spéciale dans les bibliothèques des Québécois·es. Il partage les valeurs qui le guident dans son travail et sa vie.
La rectitude politique en prend pour son rhume avec Cliff Cardinal. Seul en scène, l’acteur torontois tire à boulets rouges sur le progressisme de façade. Présenté dans le cadre du FTA et du Carrefour de théâtre de Québec au printemps dernier, ce spectacle humoristique a droit à un nouveau tour de piste.
Une collection de textes qui revêt des airs d’herbier, tant les feuillus et les conifères y occupent une place importante.
Certes, la dernière génération de robots conversationnels affiche d’étonnantes compétences pour produire du texte. Mais écrire, c’est autre chose.
Elle a déménagé dans un autre décor, troquant les ruelles de la ville pour les piscines hors terre de la banlieue. Mais au fond, l’écrivaine n’a pas changé. Dans ses écrits comme dans la vie, c’est toujours son hypersensibilité qui la guide, qui la nourrit. Entretien avec l’autrice de la fiction de Nouveau Projet 24.
Le nouveau recueil de Joséphine Bacon dit l’espoir qui s’effrite et le poids des années qui passent. À la fois graves et contemplatifs, brandis comme petite robe rouge au vent, ses plus récents poèmes questionnent sa faculté à pardonner, puis guérir. Mais lui reste-t-il seulement assez de temps?
Même s’il est décédé une quinzaine d’années avant l’invention du iPhone, le romancier iconoclaste, et pionnier de la science-fiction, a façonné notre imaginaire collectif vis-à-vis les robots. Et il y a encore des leçons à tirer de ses écrits, selon l’auteur de «Faire la morale aux robots», notre Document 17. En voici un extrait.