En banlieue du monde
Et si Laval était l’endroit parfait pour repenser le stéréotype de la banlieue nord-américaine et le projet social qu’elle était censée incarner?

Et si Laval était l’endroit parfait pour repenser le stéréotype de la banlieue nord-américaine et le projet social qu’elle était censée incarner?

Alors que François Legault parle de construire de nouvelles centrales hydroélectriques pour répondre aux besoins futurs du Québec, notre journaliste enquête: pourrions-nous en construire moins, mais en prendre soin?

AFGHANISTAN – Des années après la chute de l’extrémisme, une nouvelle génération de femmes semble prendre les devants pour renouveler un septième art sclérosé.

SYRIE – Dans un pays où les journalistes se font de plus en plus rares depuis le début de la guerre civile en 2011, des médias militants ont pris le relais de la presse traditionnelle.

GUATEMALA – Des évictions, des viols, un meurtre: la filiale d’une compagnie minière canadienne aurait commis des crimes sordides au Guatemala. Et pour la première fois, une cour canadienne a accepté de juger la responsabilité de l’entreprise. Périple jusqu’aux bords du lac Izabal, où cette histoire a commencé.

Rémy Bourdillon et Pierre-Yves Cezard ont sillonné les campagnes pendant un an. Ils ont rencontré de nombreux agriculteurs aux prises avec l’intransigeance de l’upa—notamment sa réticence à assouplir le système de la gestion de l’offre pour les petits producteurs, qui aspirent à mettre en place une agriculture différente au Québec.

Quarante-deux ans après la fermeture de sa mine, Normétal, en Abitibi, se maintient grâce à quelques rêveurs bien décidés à ne pas abandonner la partie. Mais comment continuer à y croire, quand les perspectives économiques semblent bouchées?

Plus de deux millions de Népalais travaillent présentement à l’étranger. Pour subvenir aux besoins de leur famille, certes, mais aussi pour se bâtir un avenir. Laly Tamang et Amrit Lama incarnent cette génération de jeunes Népalais qui flirtent avec la servitude dans l’espoir de s’émanciper.

Quand l’appel de l’ailleurs se fait sentir et que la réinvention passe par le travail: le parcours d’un Québécois devenu entrepreneur au Vietnam.

Chaque année, avant les Fêtes, de nombreux Québécois convergent vers New York dans le but d’y vendre des sapins. Ni les nuits froides, ni les longues journées de travail, ni l’absence d’un lieu confortable pour dormir ne semblent freiner leur engouement. Notre journaliste s’est immergé, pendant cinq semaines, dans l’exigeant quotidien d’un marchand de sapins.

Après des décennies d’indifférence, les questions de l’habitat et de l’urbanisme dans le Nunavik suscitent l’intérêt d’une nouvelle génération d’architectes. Dans ces lieux où presque tout reste à inventer, les défis techniques ne manquent pas. Les bases d’une relation de confiance, par contre, font crument défaut.