• Société

    Pour une poignée de bitcoins

    À notre époque de méconnaissance généralisée des rouages de l’économie, de cynisme et de perte de confiance dans l’économie traditionnelle, le bitcoin est-il une utopie ou la monnaie de l’avenir?

  • Erica Weiner a commencé à vendre ses bijoux faits 
main à New York il y a huit ans. Elle possède désormais 
une boutique dans SoHo et emploie cinq personnes. 
Elle attribue une partie de son succès au «marketing 
indie» réalisé par son équipe. credit: Photo: Benjamin Petit
    Société

    Le capitalisme DIY

    De jeunes entrepreneurs dessinent une nouvelle façon de produire et de consommer, plus humaine et plus viable. Une nouvelle ère du capitalisme s’annonce-t-elle dans les petits ateliers du Mile End et de Brooklyn?

  •  credit: Photo: Guillaume D. Cyr
    Société

    Si le vent est bon

    L’anguille n’est peut-être pas le poisson le plus attachant, mais sa pêche se pratique depuis des millénaires au Québec. Cette activité est cependant gravement menacée, même si une poignée de pêcheurs dévoués tentent de perpétuer la tradition. Nous sommes allés à la pêche avec eux.

  • Culture

    Au-delà de la bouffe de rue

    Pour la première fois en 100 ans, partout en Amérique du Nord, des centres-villes se développent plus vite que les banlieues. Le moment est donc propice pour découvrir les bénéfices de l’urbanisme tactique—ou comment les camions-restaurants permettent de revitaliser l’espace public, une modeste intervention à la fois.

  • Société

    L’homme sans volonté

    La procrastination est irrationnelle: elle implique de remettre à plus tard une action que nous devrions poser maintenant, en sachant très bien que nous allons le regretter. Pourquoi procrastinons-nous, alors? Devons-nous accepter la procrastination comme une propriété intrinsèque à la nature humaine, ou pouvons-nous la combattre?

  •  credit: Photo: Valérian Mazataud
    Société

    Mines contre développement

    Depuis quelques années, l’aide internationale canadienne a changé de visage: elle vise maintenant à faciliter les investissements privés, voire à prévenir les conflits générés à l’étranger par nos entreprises. Le Canada aurait-il laissé les clés du développement international à l’industrie minière?

  • Société

    Le picker est un animal marchand

    Récemment, un nouveau type de marchand est apparu dans la conscience populaire: le picker, qui déniche des objets usagés pour les revendre sur l’internet et lors de certains évènements commerciaux. Portrait d’un recycleur du passé parfaitement en phase avec son époque.

  • Photo: Valérian Mazataud
    Société

    Et au milieu coule une frontière

    Depuis près d’un siècle, la frontière orientale du Québec fait l’objet d’un désaccord avec Terre-Neuve. Sur les traces de cette limite aussi intangible que disputée, Nouveau Projet est allé mesurer les implications bien concrètes d’un conflit larvé.

  • Société

    Anticosti, colonie en sursis

    Citadelle végétale, Anticosti veille sur le Québec depuis l’embouchure du Saint-Laurent. Royaume des cerfs et terre de prédilection d’aventuriers en tous genres, la plus vaste ile de la province traverse aujourd’hui l’une des pires crises de son existence: le récent mirage pétrolier bouscule son unique village, déjà bien vacillant. Plus d’un siècle après sa fondation, Port-Menier ne sait pas à quel vent se fier.

  • Deux jeunes filles du village d'Umiujaq, dans le Nord du Québec. (Benoit Paillé)
    Société

    (Re)bâtir la confiance au nord du 55e parallèle

    Après des décennies d’indifférence, les questions de l’habitat et de l’urbanisme dans le Nunavik suscitent l’intérêt d’une nouvelle génération d’architectes. Dans ces lieux où presque tout reste à inventer, les défis techniques ne manquent pas. Les bases d’une relation de confiance, par contre, font crument défaut.

  • Société

    Marchand de sapins

    Chaque année, avant les Fêtes, de nombreux Québécois convergent vers New York dans le but d’y vendre des sapins. Ni les nuits froides, ni les longues journées de travail, ni l’absence d’un lieu confortable pour dormir ne semblent freiner leur engouement. Notre journaliste s’est immergé, pendant cinq semaines, dans l’exigeant quotidien d’un marchand de sapins.

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