À mon père qui a «une vraie job»
Ou la culpabilité d’un fils (de préposé aux bénéficiaires) qui paie son loyer, et beaucoup de livraisons de burgers, en écrivant des blagues.

Ou la culpabilité d’un fils (de préposé aux bénéficiaires) qui paie son loyer, et beaucoup de livraisons de burgers, en écrivant des blagues.

Comment se mettre au monde comme artiste? C’est l’une des questions que soulève Benoit Jodoin avec son premier livre, essai qu'il a mis longtemps à commencer, tournant autour de la littérature sans pour autant s’autoriser la création. Pourtant, cet ouvrage est une franche réussite.

Pour nous, l’année a débuté avec une bonne nouvelle: le magazine a obtenu des autorités fédérales la désignation d’«organisation journalistique canadienne qualifiée».

Bien qu’un peu verbeux, ce spectacle de Sophie Cadieux, Mélanie Demers et Frannie Holder s’impose comme l’œuvre à voir, à Montréal, en ce début d’année. Un objet étonnant et chaleureux, doux et grave.

Le Québécois Malko tire son épingle du jeu avec ses «beats» raffinés qui n’ont rien à envier à ceux des rappeur·euse·s les plus populaires de l’Hexagone.
Immigrer au Québec vient avec un jargon, sorte de langage secret, que les gens nés en France sont souvent les seuls à comprendre, à maitriser. Notre collègue en résume les grandes lignes.

L’année 2024 commence sous le signe de la guérison avec un film inuit qui porte un éclairage nouveau sur les femmes qui vivent au nord du 60e parallèle. Voici «ᑕᐅᑐᒃᑕᕗᒃ Tautuktavuk (Sous nos yeux)».

Qu’ont en commun France-Hélène Duranceau et Mathieu Bock-Côté? Ces deux personnalités publiques ont marqué l’année de leurs truculentes citations, et elles sont en quelque sorte les muses de cette grille—dont les réponses se trouvent au fil des pages de votre «Nouveau Projet 25».

Que dessineraient les fées si on leur faisait cadeau d’une boite de Prismacolor? Nul doute que leurs créations ressembleraient à celles de Winnie Truong.

Etienne Dufresne était, de son propre aveu, «le plus poche dans’ chorale», mais il est la preuve vivante que tout s’apprend (même le chant) à force de travail acharné.

Chaque jour, des conducteur·trice·s Uber s’arrangent pour déjouer l’application et faire grimper les prix à l’aéroport. Cette information, comme bien d’autres, est venue à nos oreilles après discussion avec trois chauffeur·euse·s du grand Montréal.