Faire son LIT
Et si notre futur se dessinait sur la carte d’un Québec souverain? Chose certaine, cet extrait de «La fin des exils», notre «Document 12», remue les cendres du projet souverainiste.
Et si notre futur se dessinait sur la carte d’un Québec souverain? Chose certaine, cet extrait de «La fin des exils», notre «Document 12», remue les cendres du projet souverainiste.
Le parcours de ce globetrotteur, jusqu’à tout récemment cochef du Parti vert du Canada, est digne d’un roman d’aventure. Portrait d’un rêveur pragmatique qui refuse d’assister en spectateur aux dérives du monde.
Depuis les années 1960, le Québec a vu des progrès spectaculaires se réaliser. Mais cette période majeure de notre histoire est bel et bien terminée. Une nouvelle ère s’ouvre devant nous, plus trouble et difficile, au cours de laquelle, plus que jamais, nous ne pourrons compter que sur nous-mêmes.
Alors que la droite s’autoproclame protectrice d’un prétendu «gros bon sens» dont la gauche aurait perdu toute notion, il est bon de se rappeler que ce n’est pas d’hier que les forces conservatrices ont recours à cette tactique.
Il y a dix ans, lors du printemps le plus révolutionnaire que le Québec ait connu depuis longtemps, la jeunesse a pris la rue pour demander l’avènement d’une société plus juste. Quel chemin nous montrent aujourd’hui ceux et celles qui ont 25 ans ou moins?
C’est le premier écologiste à occuper un poste aussi névralgique au sein d’un gouvernement canadien. Entre appréciation et dénigrement, Steven Guilbeault marche parfois sur un fil.
Qui peut vraiment mettre sa face sur un poteau en 2025?
D’est en ouest, du nord au sud, sept correspondant·e·s nous racontent notre territoire.
À propos des véritables liens dont nous aurons besoin, au cours des temps troublés qui s’annoncent.
De part et d’autre de la crise du logement, deux classes se dessinent: celle qui exploite (les propriétaires) et celle qui est exploitée (les locataires). Telle est la prémisse de «La classe locataire», un essai qui sort ces jours-ci chez Québec Amérique. En voici un extrait.
Les prophètes modernes peuvent bien s’époumoner, leur vision du monde ne fait que résonner dans leur chambre d’écho. Et si on cessait de théoriser l’avènement d’un monde meilleur et qu’on essayait tout simplement de l’habiter?