L’après-charbon
Adrien Beauduin assiste à la fin de l’ère houillère de ce petit pays d’Europe centrale dans lequel on place de grands espoirs.
Adrien Beauduin assiste à la fin de l’ère houillère de ce petit pays d’Europe centrale dans lequel on place de grands espoirs.
Le féminisme est à la mode. Par l’intermédiaire de vedettes affichant fièrement leurs couleurs ou encore par le biais du mouvement «#AgressionNonDénoncée», il s’impose à nouveau dans l’espace public et médiatique. Mais ces deux phénomènes répondent-ils de la même logique? Entre la démocratisation longtemps souhaitée de la pensée féministe et sa simple récupération marchande, il persiste une tension difficile à désamorcer.
Devant la forte pression foncière qui s’exerce sur les métropoles, les professionnels de l’aménagement se tournent vers des espaces oubliés, voire rejetés par les promoteurs du développement urbain: les ponts et les viaducs.
De Rodrigue Jean à Michèle Cournoyer en passant par Mireille Dansereau, voici une sélection de dix grands films qui n’ont pas (encore) reçu la notoriété qu’ils méritent. Un palmarès qui remet en lumière quelques pionnières un peu oubliées de notre industrie cinématographique.
De passage dans la Ville Lumière, l'énigmatique Paul Serge Forest s'enfonce dans les méandres du pétrole pour pondre ce récit inédit.
Dans «Une langue universelle», Matthew Rankin crée des ponts entre les solitudes, la belle province et le rest of Canada, et les gens qui parlent français, anglais et perse. Un long-métrage hors normes (son deuxième en carrière) qui vient confirmer son importance sur la scène cinématographique.
Grands sont les défis auxquels font face les femmes judiciarisées, et à plus forte raison si elles ont passé du temps «en dedans», dans un centre de détention. L’une d’elles, autrice et militante de son état, témoigne concrètement des embuches qui se dressent devant elle et ses sœurs.
Cet été, on jette notamment notre dévolu sur les chansons de l’envoutante Sevana, une artiste jamaicaine à ne pas quitter des yeux.
De scandale en scandale, la notion d’appropriation culturelle suscite l’ire des médias conservateurs, la folie sur les campus et la circonspection d’une partie de la population. Mais de quoi parle-t-on, au juste?
On la surnomme «Professor Occupy». Depuis les années 1970, Lisa Fithian est une habituée des mouvements de contestation et de désobéissance civile, du Nicaragua à Seattle en passant par la Grèce et le Texas. À l’automne 2011, elle a partagé sa grande expérience avec les manifestants d’Occupy Wall Street à New York et ailleurs. À travers son ONG Organizing for Power, elle offre toujours conseils et formation à différents groupes et mouvements. Elle nous confie ses règles d’or.