Les deux printemps
À l’aube d’une nouvelle révolution dans sa vie, Gabriel Nadeau-Dubois revient sur les évènements qui ont secoué le Québec en 2012.
À l’aube d’une nouvelle révolution dans sa vie, Gabriel Nadeau-Dubois revient sur les évènements qui ont secoué le Québec en 2012.
Pour les sociétés industrialisées, le pétrole n’est pas seulement le ciment de notre économie—il est le fondement de notre rapport concret au monde.
En nous battant sans relâche pour protéger le droit à l’avortement, nous avons omis de veiller sur les femmes qui y ont recours.
En dépit de notre obsession pour le libre arbitre, il est de ces données, comme la détérioration du climat, avec lesquelles il nous faut désormais composer.
La plus grande menace qui pèse sur les universités n’est pas la remise en question de la liberté académique: c’est plutôt l’étroitesse de ce qu’on y enseigne.
À quel point peut-on mettre un peu de soi dans la marche d’un monde insensible à nos tragédies?
Les prophètes modernes peuvent bien s’époumoner, leur vision du monde ne fait que résonner dans leur chambre d’écho. Et si on cessait de théoriser l’avènement d’un monde meilleur et qu’on essayait tout simplement de l’habiter?
Au début des années 2000, une seule étude a servi de prétexte pour remettre en question le savoir millénaire entourant les accouchements en siège. Mais voilà que malgré la surmédicalisation, les vieux réflexes et la peur, le vent tourne.
Comment voir le monde sans contribuer à sa destruction? Méditation sur le thème du vagabondage et de l’altérité.
En remettant en question les inconscients de la culture patriarcale, l’auteure exhortait les femmes à s’émanciper de la «langue de l’occupant».
À force d’aménager les aspects matériels et logistiques de notre vie, il devient souvent difficile de s’offrir des pauses du réel. Il y aurait pourtant là une solution salvatrice (et autrement efficace) pour échapper à l’austérité du quotidien.